Mais on s'en fout que ça se soit déjà produit ou pas, je te parle de sa conception du monde.
Macron par son comportement, ses contradictions, son langage verbal comme corporel nous montre qu'il n'y a ni passé ni futur, seulement son présent.
Le premier tour étant possible d'après la Constitution, il a le droit de l'espérer d'ailleurs.
J'entends ce que tu dis, mais je crois qu'il ne faut pas l'envisager comme quelqu'un de rationnel qui calcule les risques, sinon il n'aurait pas clashé gratuitement ni multiplié les provocations basses de plafond comme son légendaire "qu'ils viennent me chercher".

Ma question sur l'acharnement était rhétorique, puisque j'ai dit juste avant qu'il était un lieutenant d'intérêts. Mais oui je suis d'accord avec toi.

Quant à ceux qui l'ont empêché, déjà tous ceux qui ont fait grèves et manifs, les GJ ça l'a fait paniquer, il a lâché du lest et repoussé la réforme des retraites parce qu'il avait peur, il a aussi eu peur des "convois de la liberté", sans compter qu'au sein du groupe LREM à l'Assemblée des députés de son propre parti ont dénoncé des projets de loi et voté contre.
Et il a pas vraiment fait ce qu'il voulait car la conjoncture (épidémie, guerre, etc.) l'a aussi forcé à freiner pour raisons électorales, il a encore tout un paquet d'horreurs à nous sortir.
Pareil il aura mis le temps avant, en loucedé, de supprimer les diplomates via décret (paru au JO la semaine dernière), mais sans doute que ça lui trottait dans la tête un peu car désormais y aura opacité totale sur le profil de ceux qui remplaceront les actuels ambassadeurs.

Un pur crime de l-se-majesté.