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qsufhuhzLe 26/06/2003 à 09:58
Je méprise, j'exècre ces profs, cette infirmière dénuer de tout bon sens qui veulent soit disant m'aider,certainement alors que l'anée scolaire s'est achevé.C'est exacerbant de se faire réveiller par une sonnerie téléphonique ayant pour origine l'infirmerie du lycée pour m'annoncer que j'ai l'immense privilège d'avoir une convocation supplémentaire vendredi après mon oral de français j'ai l'intense bonheur d'etre reçu en compagnie de ces messieurs dames, cet très chère assistante social ainsi que cet fine psychologue ("tu as des problèmes particuliers?" je cite),j'admire aussi l'absurdité de ces profs qui remarquant que mon comportement était a leur yeux anormal durant l'année vont par la suite vers le 28 juin (je suis enfin en "vacance") vont en faire part a ces gens, désormais je suis connu de mon CPE que je n'ai jamais rencontrer, tant soit pour mes talents artistiques (on m'a confisquer un dessin qui a du faire le tour de tout les profs sad de mon style habituel plein de candeur...j'aurai du m'abstenir d'écrire d'écrire des commentaires m'impliquant cry)mais aussi pour d'autre "obscures" raisons...J'ai l'art de m'attirer les emmerdes enfin cela justifie encore le proverbe qui se ressemble s'assemble.Ils ont l'art de mettre en péril mon équilibre déja précaire, comment voulez vous que je puisse convaincre mon esprit de réviser dans la perspective de l'épreuve oral de français alors qu'il est effrayé, horrifié par l'idée de cet confrontation a laquelle mes parents pourait etre joint, 'd'ou le fait que je réponde a tout els coups de téléphones et que je me jete sur la boite au lettre après la venu du facteur, mais s'il avait la fulgurante initiative de les joindre sur leur lieu de travail sad)...mourn Ne peuvent t'il comprendre qu'il m'iportune qu'ils me sont totalement inutil et qu'il sont plutot nuisible a mon état de survie, que le fait de songer au suicide n'implique pas forcément un passage a l'acte, Dès sa jeunesse Vincent van gogh avait des idées suicidaire a la suite de ses désillusions amoureuses il a pourtant attendu le 27 juillet 1890 pour se tirer un balle dans la poitrine a Auvers sur Oise.Qu'on me laisse la liberté de mettre sur papier mes sombres fantasmes puisque c'est la seule chose que je puisse faire, "l'art" (je ne peut pas vraiment me permettre d'appeler se que je fait ainsi, du moin pas dans l'immédiat) est l'unique subterfuge que j'emploie pour un tant soit peu combler mon déficit existenciel, je ne m'attend a plus rien des autres exepter qu'il m'ignore, je n'ai besoin de personne pour crever (non je n'emploierai pas de termes plus laudatifs pour désigner le fait de mourir me concernant)

Je vais avoir la "chance" de partir en "vacance" 3semaines, néamoins je nommerai plutot cet future épreuve "prologue au "joie" de l'enfer" en compagnie de se que je suis contraint d'appeler famille, avec mes cousin(e)s je songe a ces futures moments de bonheurs en variant entre insulte crachat et combat acharnée avec la devise tous contre un, un contre tous.Pourquoi tant de mérpis a mon égard? probablement qu'il ne peuvent avoir d'estime pour les etres que la Beauté méprise mais aussi du fait qu'il soit en quelques sorte jaloux de ma "réussite" (je ne qualifierai pas sa ainsi loin de la) scolaire. Je m'imagine déja la douce voie de ma cousine sans cesses chantonner qu'elle est la plus belle (quel modestie) sa va etre pour le moin joyeux. J'aimai la montagne parce qu'elle m'offrai le calme une certaine forme de sérénité, je pouvai vaquer en paix, marcher le long des crétes réver a ma guise dessiner peindre ou bon me semble maintenant je suis obligé de fuire ceux que je doit appeler mes semblables fuire toujours...Au lycée j'avai au moin le privilège d'avoir de l'espace autour de moi (une ragé de table derière ou devant vie ainsi qu'une rangé juste pour moi je peut m'étaler a ma guise néamoin personne pour masquer mes activités artistiques pendant les cours sad).
En etre a courir a se cacher ou que je me trouve pour ne pas emcombrer l'espace vitale de mes "semblables", ne pas les outrer de ma présence,peut t'il etre encor qualifier de vivre? cela fait dc depuis longtemp que 'jai cesser de vivre pour survivre.La seule chose qui me chagrine dans le fait de mourir c'est que je ne pourrai savourer la joie de l'etre enfin d'autre auront le coeur emplie de bonheur a ma place,cela est bien vrai que tout le monde apporte de la joie certain par leur présence et d'autre par leur absence.Mlaheureusement je suis vaguement humain cry, je suis donc faible, j'execre cette faiblesse qui me retien encor a mettre un terme ce qui pourrai peut etre etre qualifier d'existence aussi dénuer de sens soit t'elle.Quel étrange absurdité que constitue le fait de m'avoir donner vie, immonde méprise.Si l'on faisait preuve d'humanité on m'aurai euthanasié.

Sur ce aurevoir passez de bonen vacance je m'en vais temporairement pour une durée indéterminer entre 3semaines et 1.5mois a moin que j'y reste poru une éternité mais sa n'a pas de sens d'éspérer, "espérer c'est démentir l'avenir".(Cioran) Je vais me perfectionner dans la maitrise du dessin de nu , je dessine des cadavres de femmes je suis entraint d'en faire un sur un format raisin a la sanguine, on est senser la voir allonger par terre dans une position un peu théatrale avec ses organe qui sorte de son ventre La magnificence de la Mort, puisque l'on est dépiter par la vie logiquement l'on se tourne vers la mort.