BiHi
:

Miles
: Pour en revenir aux intermittents, il faut quand même qu'ils choisissent entre un statut, peut-être un peu plus étriqué que pas de statut du tout, non ?

Non. Le gouvernement pouvait ou bien changer le statut d'intermittent du spectacle, et que ceux qui avaient déjà du mal à survivre, et bien qu'ils crèvent, ou bien empêcher les fraudes faites par les grands groupes d'audiovisuel (les chaînes de télévision en général, mais aussi les radios) qui avaient des postes fixes donnés aux intermittents. Comme le gouvernement caresse ceux qui ont les moyens dans le sens du poil, c'est le premier choix qu'il a fait. Donc non, les intermittents n'avaient pas à choisir entre un statut étriqué et pas de statut du tout. Mais en même temps, fallait pas demander à un gouvernement de droite de s'occuper de culture, c'est de la faute des électeurs, pas du gouvernement.

Sauf que c'est pas le gvt qui a signé l'accord, il n'a fait que le valider, le MEDEF et la CFDT l'avaient signé, mais la CGT aime bien tout contester.

Et on a pas la choix, d'ailleurs, mais j'ai l'impression qu'ici, le niveau est le même que dans les syndicats, pas de réflexion, simplement de la contestation.

Vous êtes bien des Français.