Godzil : Non pas de soucis, j'ai compris.

Malheureusement je crois que c'est fini pour de bon, je suis infiniment triste, surtout que le dernier acte était violent quand j'ai jeté le sac...C'est tellement triste de ne pas pouvoir comprendre la personne que tu aimes.
Elle m'en voudra, comme je lui en voudrai, demain j'ai déçidé de partir un peu à la casa famililale en champagne, une quinzaine de jours. Maintenant je dois faire le deuil, ça ne va pas être simple tout en sachant que lorsque je vais revenir elle sera toujours là à travailler sur la grande place à 40 mètres de l'appartement.

Je m'imagine tellement de choses...elle avec un autre homme...Un saisonnier en plus, le bon genre de gars à chercher de la minette en manque d'amour...Je lui en veux pour sa méchancetée.