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veryLe 13/07/2009 à 12:53
./13438 > je crois qu'il y pas pas mal de gens qui pensent ça, mais il se gardent de le dire trop souvent.

Ce qui est objectif, c'est que ces assoces juives ( je pense au crif surtout ) ont fourni un modèle de comunautarisation, de revendications communautaires (le cran ou le cfcm par exemple ce sont des copies du crif ) et ont initié glorieusement la course victimaire. (dans laquelle concoure même maintenant quelque chose d'aussi éloigné que les gays... )

Mais bon c'était une évolution qui était inscrite depuis bien longtemps, dont nous somme tous responsables. Je me rappelle de Regis Debray expliquant que le sacré de l'Europe actuelle c'était Auschwitz. De manière un peu différente et provocatrice; c'est aussi ce qu'expliquait Dieudonné à Élisabeth Lévy dans une interview: le dernier tabou ( c'est-à-dire le seul vrai) de notre société, le seul qu'un humoriste ne pouvait pas toucher c'était la shoa et l'antisémitisme. Élisabeth n'a pas nié, elle a juste tenté de justifier le fait que ça soit tabou...

C'est inédit et compliqué d'avoir un sacré un négatif, du moins fondé négativement, et qui tend à renier et culpabiliser la société; puis diviser les groupes; à faire des victimes et des bourreaux à l'intérieur de la société. (un sacré "normal" rassemble autour de valeur positives )
Parce que toute la société à tendance à glisser sur le modèle du sacré: à le reprendre autrement, à l'adapter à tel ou tel cas, à chaque situation, mais avec la même logique.