Je me suis décidé à finir ce jeu, et le bilan est bien plus contrasté...

D'une part, une fois qu'on a passé les 3/4 du jeu, vous allez commencer à pester contre la gestion pourrie de la caméra et du stick analogique. Vous aurez envie de jeter l'UMD du jeu à force de tomber dans le vide sans le vouloir vraiment.

Le César Palace, dernière attraction du Parc, a été visiblement implanté sans grande inspiration, d'une part, il n'y a presque plus d'allusion aux jeux vidéo (hormis un Psykokwak en guise d'emblème romain. Le combat contre César est tout aussi peu inspiré (Haaaaaaaan une allusion à Matrix, ça ne sera que la 757435765765765ème fois qu'on le fait...). Quant au boss final, vous allez découvrir ce que l'expression "angle de vue de merde" veut dire. C'est simple. Imaginons que vous courez dans un sens pour éviter l'attaque du boss. Pendant votre course effrénée, la caméra change toute seule d'angle de vue. Cependant, comme les déplacements se font en fonction de la caméra, votre esquive tombe à l'eau puisque le déplacement de la caméra fait que vous revenez sur vos pas. Vous êtes donc à la merci du boss, vous perdez votre part d'énergie réglementaire. Vous voulez donc redresser la caméra faute de mieux. Impossible. Le jeu nous impose cette vue pourrie où on ne voit même pas où on court. On passe donc notre temps à redresser cette foutue caméra pour essayer de voir quelque chose à l'arène.

La fin est abrupte. Et quand on a fini le jeu, on recommence tout à zéro. Bah oui, il faut trouver les casques en diamnt qui restent.

À noter aussi que je n'ai jamais réussi à activer les coups spéciaux, même en suivant scrupuleusement l'ordre des touches à appuyer.