Zerosquare (./34) :
Et en théorie, je suis de l'avis de Kevin : un instrument à une touche par note est plus simple à apprendre (ça n'a pas de sens de parler de la difficulté du jeu polyphonique, puisqu'une flûte est monophonique : il faut comparer ce qui est comparable).
Bien sûr que si, tu apprends un instrument avec ses spécificités... sinon, tu peux très bien dire que la flûte à bec est un instrument à percussion très facile (ce qui n'est pas faux, il doit bien y avoir l'une ou l'autre des pièces écrites après 1950 qui jouent là-dessus, mais c'est quand même être très réducteurs vis à vis des possibilités de l'instrument

.
Sally > Ah oui, vu comme ça, je suis assez d'accord. Cela dit, je pense qu'avoir des cours didactiques et de qualité ne doit pas empêcher de faire du soutien scolaire privilégié, où ce genre d'espace est possible, en particulier pour ceux et celles qui n'ont pas confiance en eux, qui ont besoin d'être accompagnés, etc.
Zerosquare (./34) :
En même temps faire de la philo sans participation, c'est comme faire de la physique sans faire de TP... c'est un excellent moyen pour que ce soit soporifique et que la majorité des gens décrochent.
Quant à l'argument de Nil, bien sûr c'est important de connaître ce que les philosophes ont apporté comme réponse aux questions ; mais si ça se limite à ça, ça n'a aucun intérêt : c'est une discipline morte qui se limite à avoir un savoir encyclopédique. Dans les autres disciplines, le but des exercices n'est pas de répondre "Machin a étudié ce problème en 1673, sa réponse a été...".
La participation, tu l'as dans la dissertation (cela dit, je suis d'accord, ça pourrait être marrant d'avoir une épreuve de philo à l'oral

), ou tu fais la synthèse de ce qui a été présenté par les philosophes précédents pour, enfin, dire ce que toi tu penses, en t'appuyant de façon critique sur le travail fait précédemment.