very (./266) :
-ça te parait d'imposer la parité en prison, mais ça te parait normal de l'imposer ailleurs (en politique ou en affaire ou je ne sais où d'autre ).

Trouve-moi un post où je soutiens la parité imposée. C'est même le contraire, je trouve que la parité imposée est absolument débile dans la mesure où il faudrait se forcer à choisir un personnel féminin pour remplir ce quota arbitraire. Il y a peu de femmes en informatique par exemple ? Alors qu'on se débrouille pour qu'on n'associe plus ce domaine aux geeks mâles puceaux. Ce n'est pas possible sans qu'on use de clichés sexistes ? Alors ce n'est pas un problème au final.

Ça et la féminisation de la langue sont des non-sens pour moi dans la cause féministe. L'égalité doit être un droit, pas un devoir.

very (./266) :
-les hypothèses principales posées par les gender studies, et leur préconisations, incitent aussi par ricochet à la violence féminine. En effet on nous explique qu'il n'y a pas de différence naturelle entre F et H, donc que si on libère les carcans les hommes vont (un peu) plus se comporter comme les femmes et surtout les femmes vont (beaucoup) plus se compter comme les hommes (et oui les gender studies sont sexistes et dévalorisent la féminin, mais c'est un autre débat ^^). Entre-autre ça veut dire approcher le niveau de violence des hommes. Donc le taux d'incarcération.

Bah non, c'est exactement ce que je disais : tu fais une splendide pente savonneuse sur l'évolution des mœurs qui conduit à la parité dans les prisons. En plus tu attribues cette montée de la violence féminine aux seuls courants radicaux féministes, ce qui est un raccourci très spécieux en plus d'être douteux. Rien sur les conditions sociales, les traitements dispensés dans les centres éducatifs fermés, etc.