Kevin Kofler (./1986) :
Oulà, il envoie un texto (un seul) avec des compliments (rien d'obscène) et elle appelle ça du harcèlement à domicile?

Nhut (./1998) :
Harcèlement implique répétition, or là il a juste envoyé UN message (deux en comptant celui d'excuses).

Bon, euh, comment dire ?
Si je suis contacté presque tous les jours par des services commerciaux qui veulent me vendre leur merde, alors que je ne leur ai pas donné mon numéro et que je suis inscrit sur une liste de non-diffusion commerciale, est-ce que ce n'est pas du harcèlement à partir du moment où chaque boîte est différente ?
Le fait de recevoir un message par des biais détournés (le mec profite de sa position pour l'obtenir), nope.
Et peut-être qu'à vos yeux le mot "harcèlement" est trop fort, et qu'au sien elle vit des situations similaires si souvent que ça s'accorde à du harcèlement (inconscient) d'une masse.
Bref.

Tron (./1999) :
Si la fille lui plaît, du coup il fait comment pour la contacter ?

C'est le but : ça doit être remis par la personne. Ou un tiers qui connaissant les deux parties pense bien faire. Mais pas par le biais d'infos professionnelles, là ça fait stalker. C'est après à se demander si le type n'utilise (ou n'utilisera) pas sa position pour reproduire ce schéma, surtout s'il parvient à conclure (statistiquement, à force de voir du monde).

Le numéro de mobile, comme l'email, "même si ça peut se retrouver" font partis des infos que le possesseur doit délivrer de lui-même pour valider qu'il accepte d'être contacté par l'autre parti. Facebook et autre réseau social est différent, tu acceptes explicitement que n'importe qui peut tomber sur toi et te contacter.
Je précise "de mobile", car dans le même raisonnement je conclue qu'être retrouvé par l'annuaire n'y compte pas (on peut refuser d'y être noté). Là en revanche, si on entre dans la répétition malgré le refus, d'accord.

Bien sûr tout cela est une règle purement sociale de savoir-vivre, une plainte officielle pour harcèlement ne passerait pas. Mais ça fait mal à l'image d'Orange qu'un technicien puisse ainsi détourner les ressources clients de la société pour son usage personnel.