Sauf "qu'expérience équivalente", c'est très difficile à évaluer quantitativement. Il n'y a pas deux personnes qui aient le même parcours. Même deux étudiants juste sortis de l'école, la même année, n'ont pas forcément la même expérience (est-ce qu'ils ont bossé ou juste fait le minimum pour décrocher le diplôme ? qu'ont-il faits comme stages et projets extra-scolaires ? etc.)
Autre problème : la négociation. On sait qu'une partie de la différence de salaire homme/femme pour le même poste tient au fait que les femmes ont tendance à moins négocier (ou le faire de manière moins "agressive"). Comment tu égalises ça ? En supprimant la négociation et en imposant des grilles de salaires partout (ce qui pose plein d'autres problèmes) ?
Nil (./3509) :
Zerosquare (./3502) :
Tu peux préciser ?
Yep, quand il est dit :
Ainsi, le retard mental, l’autisme, les tumeurs du cerveau et du pancréas, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) ischémiques sont plus masculins, comme les conduites à risque, les addictions et la violence. En revanche, la maladie d’Alzheimer, l’anorexie et autres troubles alimentaires, la dépression, l’ostéoporose, les maladies auto-immunes (maladies thyroïdienne – Hashimoto, Basedow – sclérose en plaques, lupus, etc.) et certains cancers (thyroïde) touchent plus les femmes.
Pour moi il est évident qu'ils disent que des facteurs biologiques influent sur les exemples cités, pas que ces exemples sont 100% déterminés par la biologie. Et c'est le cas : pour les conduites à risque / addictions / violence, il y a des facteurs biologiques connus (génétique, toxoplasmose, etc.)