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NilLe 19/11/2015 à 16:52
Pen^2 (./288) :
La peur n'est pas la question : c'est une réaction à chaud sans grand intérêt de la part des concernés.
Je ne suis pas d'accord : c'est grâce à la peur justement que les décisions d'urgence vont être prises (celles qui seront probablement les moins efficaces et les plus liberticides). Et si les gens ne se rendent pas compte qu'il y a toujours plus de chance aujourd'hui de se faire percuter par une voiture que tirer dessus par un terroriste, ça n'aidera pas à garder la tête un minimum froide pour avoir du recul sur ces décisions. Ma comparaison est surtout à prendre à ce niveau.
manoloben (./290) :
j'estime à tord ou à raison, qu'on est pour beaucoup le fruit de ce qui se passe autour de nous. (fruit de l'expérience dit on?)
Après le pourcentage de libre-arbitre (disponible?) est différent en fonction de beaucoup de chose :
[*] déjà de la personne, de sa force de caractére, mais je doute que les "élus" eussent été des gens avec un fort caractère, (my2cents smile ça ne vaut rien on est d'accord, j'ai pas de sources)
[*] y'a aussi surement à quel point tu as le cul dans le coton, (j'ai toujours pas de sources)
[*] et surement bien d'autres choses
[*] (si tu es un psychopathe ça doit compter aussi gni - ne voyant pas le bien du mal, ton libre-arbitre est vachement plus libre!)
Cf. l'article que j'ai posté un peu au-dessus : ceux qui se radicalisent ont eu un passage dépressif dans leur vie et ça semble être un discriminant plus fort que le niveau de vie d'origine.