Je me pose régulièrement la question de savoir si je suis capable d'en fumer une quand vraiment le plaisir serait vraiment là (journée ensoleillée, boisson fraîche, etc...) sans retomber dedans.
Je me demande si le simple fait que tu considères toujours ça comme un plaisir n'est pas un signe que tu en es encore dépendant. Ou, formulé autrement, que tu pourras te considéré guéri quand tu ne seras plus attiré par une cigarette du tout.
En tant que non fumeur en tous cas, je peux te dire que je n'ai jamais considéré une cigarette comme autre chose qu'un truc qui pue (et qui pique les yeux dans un lieu espace fermé).
Pour la contribution aux petits exemples, j'ai souvenir d'une prof d'italien qui a arrêté de fumer du jour au lendemain. Son mari lui a dit en gros "c'est la cigarette ou moi, faut choisir".