spectras (./165) :
Je me demande si le simple fait que tu considères toujours ça comme un plaisir n'est pas un signe que tu en es encore dépendant.
Clairement oui. Psychologiquement surtout, même si j'ai des doutes sur l'importance du physiologique.
spectras (./165) :
Ou, formulé autrement, que tu pourras te considéré guéri quand tu ne seras plus attiré par une cigarette du tout.
Carrément.
spectras (./165) :
En tant que non fumeur en tous cas, je peux te dire que je n'ai jamais considéré une cigarette comme autre chose qu'un truc qui pue (et qui pique les yeux dans un lieu espace fermé).
Bah, je me force à penser comme ça. Mais il est difficile de comprendre le comportement qu'il y a "de l'autre côté de la barrière".
spectras (./165) :
Pour la contribution aux petits exemples, j'ai souvenir d'une prof d'italien qui a arrêté de fumer du jour au lendemain. Son mari lui a dit en gros "c'est la cigarette ou moi, faut choisir".
C'est un peu fort, mais on ne peut savoir à quel point elle pourrissait peut-être le couple, comme pour l'alcoolisme.