Bovido (./402) :
La source de l’information vend son information au prix qu’il le désire, de sorte que, dans le cas d’un professionel (artiste pro, journaliste, développeur, etc), le prix de la vente rembourse son travail et lui donne une marge qu’il estimera nécessaire ; et cela, comme n’importe quel commerçant ou artisan ! L’achat sera peut-être cher pour une personne, mais pas pour un ensemble de personne réunies. Si 1 000, 10 000, personnes veulent un logiciel, une information journalistique, etc, et cela de qualité professionnelles, il y aura quelqu'un qui se fera un plaisir d’inventer et de leur vendre le résultat.
Mais tu présupposes donc qu'il y aura des "réunions de personnes"... Tu réinventes l'éditeur/diffuseur mon grand

. Et tu gonfles le coût unitaire, ce qui rend l'information bien plus difficile à transmettre dès le départ, donc tu handicapes ceux qui n'ont pas les moyens de se payer cette information (ainsi que les informations qui ne sont pas utiles au plus grand nombre, on retombe toujours dans la problématique de l'art novateur et de la recherche fondamentale).
Bovido (./402) :
En outre, il sera possible qu’une sorte d’organisation, un peu comme la SACEM dans le système actuel, achète des œuvres d’artistes réputés au nom des demandeurs. Il y a une foule de choses possible pour remplacer le système de la PI ! Il suffit d’imaginer !
C'est un peu con de tomber dans ce travers très communiste (qui, finalement, ne vaut pas mieux que le PI puisque les auteurs sont tributaires de cette association, donc produisent "pour plaire"...)