une version totalement illisible, non-documenté et inutilisable (bien qu'elle produise bien l'exécutable
), ce qui est même facile à générer depuis une source claire.
En effet.
Mais si tu fais ça, tu as intérêt à ce que ce que tu veux essayer de protéger en utilisant ce genre de moyens ne soit pas ""facilement"" accessible par d'autres moyens. Pour des drivers écrivant sur des périphériques mappés en mémoire (par exemple, le driver vidéo "nv"), ça ne sert pas à grand chose, au bout du compte: c'est sujet au reverse-engineering externe, sans désassemblage de code, par snooping des accès aux périphériques mappés en mémoire.
C'est à partir de cette méthode, en observant ce que le driver propriétaire "nvidia" fait, que le driver "nouveau" est développé. C'est long et ch****, mais ça produit des résultats, puisque le driver "nouveau" n'est apparemment plus quasi-inutilisable en pratique.
Fedora 11 veut même remplacer "nv" par "nouveau" OOTB.