Mais l'importance donnée à la mère c'est réducteur, c'est de la phallocratie puisque le rêle de la femme c'est la reproduction et la famille.
En refusant complètement le sexuel, de facto tu exiges qu'on te regarde et qu'on te juge sur autre chose.

C'est moins fort la pression sur le mariage des hommes.

Parce qu'en refusant volontairement le sexe on refuse d'entrer dans tout le système d'une société où la sexualité est pensée pour les hommes quand elle ne relève pas de la maternité.

La "destruction" des années 50 c'est faux c'est au contraire une époque très coincée en Europe.
Ça commence avec les années 60/70 -je rappelle que les femmes n'ont eu le droit de vote en Suisse que dans les années 70 (appris via un entretien avec Jean Ziegler, grand sociologue), qu'en France il a fallu attendre les années 70 environ pour qu'on révoque les dispositions du Code Napoléon qui stipulaient que les femmes devaient obéissance au mari et avaient besoin de son autorisation pour avoir un travail ou leur propre compote en banque et qu'en France l'avortement et la pilule c'est la loi Veil de 1975.

Pour le reste, le management "toxique" du Japon pendant longtremps c'était un management brutal et pyramidal comme on a connu ici, "enrichi" des coutulmes hiérarchiques de la classe des samurais, qui a en gros façonné aussi l'image de la Yamato Nadeshiko parce que c'étaient eux la force durant l'ère Meiji. Aujourd'hui ça s'est par endroits, et je te l'ai dit, aggravé du système de morgue hiérarchique et de "blame-storming" occidental, principalement importé des USA et qui est l'application de l'irresponsabilité administrative publique aux structures privées, en fin de compte.