./214 > je pense que l'on peut, pour le moment (et tant que ça ne tourne pas à la guerre civile, ce que je ne pense pas possible dans un futur proche), garder un état de droit tout en luttant assez efficacement. Certaines mesures sont assez simples à prendre, d'autres plus complexes mais possibles :
- Doper les moyens là où il faut. (partie facile)
Par exemple le parquet anti-terroriste qui est submergé depuis des années sans hausse d'effectifs. Idem pour le renseignements (plus d'analyse humaine). Les douanes. - Une politique régalienne plus ferme (facile aussi)
Faire un fuck à Shengen et remettre définitivement des vraies douanes en place. Immigration zéro. Interdire le financement étranger de religieux et lieux de cultes, etc. Etc. - Définir juridiquement l'ennemi, donc ce qui est condamnable. (un peu plus délicat):
Au bon vieux temps des Rois de France, on aurait interdit l'islam dans le royaume pour moins que ça 
Bon vu la situation, et à partir de notre historique qui interdit déjà les appels à la haine, l'idéologie nazie, les pratiques sectaires hard, etc, etc, on pourrait interdire le salafisme (=wahhabisme ), en faire un délit caractérisé, virer tous les imams salafistes (pour les étranger u bi-nationaux) ou leur interdire d’exercer, etc, etc.
Évidemment ça supposerait de revoir nos relations diplomatiques avec certains pays qui propagent cette idéologie. Malheureusement ces pays corrompent massivement nos élites politiques (et économiques) actuellement, donc je ne suis pas persuadé qu'un tel changement salutaire puisse survenir avec notre classe dirigeante actuelle :/
Voilà. La seule difficulté juridique est de caractériser précisément le salafisme, mais c'est jouable. L'avantage de mes propositions, c'est que l'on garde un état de droit, et que l'on n'est pas envoyé dans un Guantánamo bis dès qu'un fonctionnaire des renseignements a envie de remplir une fiche S. Il y aurait un contrôle judiciaire, des procédures juridiques usuelles où l'on peut se défendre, et un délit clairement constitué.
Mais en même temps on aurait les moyens juridique de surveiller/fliquer/exclure/etc un max les gens vraiment dangereux, et de plus on s'en prendrait au terreau sur lequel le djihadisme pousse, sa base idéologique même.