very (./259) :
Kevin Kofler (./256) :
Bien sûr, on ne permettrait pas de voter à des personnes qui ne sont ni citoyens, ni résidents. 
tu ne voulais pas supprimer les frontières ? (donc la citoyenneté ?).
Du coup, ce ne serait plus que la résidence qui compterait. Mais j'insiste: avant de vouloir supprimer le droit de vote pour les citoyens à l'étranger, il faut d'abord leur permettre de voter dans le pays dans lequel ils vivent actuellement. Sinon, on se retrouve étranger partout. (C'est d'ailleurs actuellement le cas pour les citoyens allemands qui vivent à l'étranger depuis longtemps, ils ne peuvent plus voter nulle part, c'est totalement injuste.)
Et on pourrait aussi remettre en question le pays comme unité administrative, on pourrait aussi par exemple avoir juste le niveau UE et le niveau communal sans l'intermédiaire. Ou plein d'autres constellations.
Bref dans ton système incohérent tu gardes une discrimination envers l'essentiel des étrangers.
Le but d'un vote est de participer à la vie dans le pays (ou plus généralement l'unité administrative) dans lequel tu vis.
Enfin bon même avec ces règles-là ton système donnerait des résultats marrants... "pas de frontières" + "liberté de s'installer" + "allocs" => en quelques années tu pourrais avoir, par exemple, une majorité d'immigrés sunnites dans ton pays, qui voteraient peut-être islamiste. Du coup ils instaureraient peut-être la peine de mort pour les homosexuels, comme en Arabie Saoudite. Voilà précisément le résultat de l'idéal no-borderiste.
Ça, c'est une panique irrationnelle d'extrême-droite. La majorité des sunnites n'est d'ailleurs pas islamiste.