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Pen^2Le 19/04/2017 à 20:31
J'ai évidemment regardé depuis le début (de l'extrait), et ça n'est pas plus clair pour moi.

s'ils ne cèdent pas au plan a, alors nous passons au plan b.
qu'est-ce que le plan b ?
qu'est-ce que le plan b ?
le plan b, c'est le plan que je viens de présenter comme plan a : si les autres n'en veulent pas, alors nous le faisons quand même, entre ceux qui sont d'accord. [qui ?]
par conséquent, le plan b est un plan internationaliste [mais on ne sait toujours pas ce que c'est ?] Ce n'est pas un plan nationaliste ou chacun rentre à la maison et se débrouille avec sa situation nationale. C'est un plan internationaliste. Et c'est là que nous jouons un rôle, nous, dans cette salle, tels que nous sommes. [le rapport ?] Nous jouons un rôle parce que nous préfigurons ce plan b. Les gens qui veulent savoir ce qu'est le plan b, l'internationalisme du plan b n'ont qu'à venir vous voir, vous, chacun dans vos pays, ou vous sur ces bancs.[???]
le plan b, c'est le plan a maintenu.
[...]

Un résumé de ce que tu as compris, c'est, sauf erreur de ma part :
- On essaie de renégocier, comme on est la France on est plus forts et ils seront obligés de plier.
- s'ils ne plient pas, on invoque l'article 50 et on sort pour créer un autre europe.
C'est pourtant simple à énoncer, or il ne le fait pas.
En outre, il ne dit pas avec qui, et, quand on creuse un peu, il avoue lui même qu'il n'a pas envisagé qu'on puisse lui refuser les renégociations et qu'il n'a donc pas de réponse sur la sortie de l'euro, etc. Pour moi, ce n'est pas crédible, et pour les partenaires européens qu'il est censé faire plier, ça ne doit sans doute pas l'être non plus.