Saxo (./122) :
Je me permets de te répondre FELYX, au sujet de la BX4TC, car j'en possède une (série 200), et que je suis en complète contradiction avec tes affirmations !
Pour tout renseignement précis sur ce sujet, voir le site que je viens de terminer: http://livres-bernard-grand.simplesite.com/426227021
Je n'ai pas l'intention de me fritter avec un gars qui perd toute objectivitélorsqu'il parle de la voiture qu'il possède.
Je t'invite simplement à lire cet article que je viens d'exhumer de son carton d'archives: l'essai de la BX 4TC par Henri Pescarolo publié dans le numéro de janvier 1986 d'Action Auto.


Je maintiens de plus que même si ça n'est pas écrit dans cet article, je suis sûr d'avoir lu que c'est au cours de cet essai que la femme de Pescarolo se plaindra d'avoir été transportée en caisse à savon.
Je me rappelle parfaitement l'avoir lu et en avoir ressenti de la honte pour cette pauvre BX4TC qui vraiment est une auto ratée.
A toi de faire preuve d'un minimum d'honneteté et d'objectivité: cette auto est une voiture née d'un cahier des charges contraignant de garder le moteur à l'avant quand tout le monde le plaçait en position centrale arrière pour obtenir la meilleure répartition des masses possibles. En 1986, seul Audi conservait le moteur à l'avant parmi les cadors du groupe B pour la simple raison que la Sport Quattro était une évolution de la Quattro.
Les 205 T16, Delta S4, RS200 et Metro 6R4 ont toutes un moteur central AR.
Les résultats parlent d'eux même: en compétition, la BX 4TC fut malheureusement un calvaire, Citroën la retirant même de certaines épreuves: catastrophique

Comme déjà indiqué, Citroën peina à écouler les versions civiles assemblées chez Heuliez avec un soin tout relatif: finition blaclée et simpliste en plus de la piètre qualité de fabrication des Citroën de l'époque.
Libre à toi d'essayer de convaincre les gens ici que c'est la 7emùe merveille du monde mais la réalité c'est que la BX 4TC fut développée avec les moyens du bord, que les choix techniques étaient contestables en compétition et que sa fabrication fut baclée. Elle aurait malgré tout pu faire une bonne routière, étant sans doute la seule Groupe B du monde à disposer de 5 portes mais la fabrication des 200 exemplaires de série fut tellement artisanalme et bricolée que l'auto manque cruellement de fiction: l'insonorisation notamment.
C'est aussi un infâme tape cul ce qui pour une Citroën et de sucrcroît une "vraie" Citroën disposant d'une suspension hydropneumatique se révèle être un comble!
Il faudrait que je retrouve l'article ou Pescarolo relate les reproches de son épouse pour l'avoir trimballé dans la BX4 TC sans quoi je suppose que là encore tu refuseras de me croire...