./122 >
Je rajouterais à l'excellent
./126 quelques points:
-ce n'est pas par ce qu'il y a de quelconques raisons historiques qu'il faut resté figé à jamais. Il faut les prendre en compte pour comprendre le présent ( j'accept très bien le fait de ne pas avoir tout tut de suite, je sais que les moeurs évoluent doucement..) mais ça ne peut justifier l'immobilisme à jamais..
-Comme le remarque bien Hippo, de ton post ressort une classique peur de la liberté: la liberté c'est compliqué, il faut savoir choisir, être responsable, autonome, ne pas se sentir perdu par l'atomisation des vieux repères, se fixer ses propres limites, accepter la différence de l'autre, etc...
N'empêche que la positon de l'homme réfléchi a toujours été de gouter à la liberté et ses risques et non de rester un pauvre esclave 'heureux' ignorant qui n'a besoin de réfléchir à rien..
On retrouve le même genre de schémas sur les connaissances scientifiques qui démolissent les anciens repères ou croyances. ( hier avec Copernic, aujourd'hui avec le déterminisme social et génétique, ..). Le sens du progrès, c'est tout de même de sortir de la grotte !