News Console Android Ouya, le kit de développement est disponible. La belle affaire... - Page 1

[Pockett.net] - La campagne de financement sur le site communautaire Kickstarter a permis de lever 8,5 millions de dollars pour lancer une console de salon sous Android, la Ouya, pour contrer les PlayStation 3 et Xbox 360. Le projet avance, le kit de développement a été envoyé aux créateurs de jeux... ...

Nouvelle en entier ...

Ça avance bien, c'est cool. Que la technologie soit déjà utilisé ailleurs, où est le problème ? C'est comme les CPU de la game boy et de la lynx, z80 et 6502 étaient déjà au coeur des micro ordinateurs des années 70s/80s.

Bref, nous ne sommes pas certains que les joueurs seront convaincus.

Tout se jouera (c'est bien le cas de le dire) à la manette. Si les contrôles à la manette sont bons, les joueurs lassés/énervés par les contrôles tactiles pourraient bien se laisser tenter.

Deux manettes ça veut aussi dire un mode deux joueurs sur le même téléviseur.

En attendant, 1200 SDK envoyés, ça veut dire 1200 studios au boulot dessus (enfin pas vraiment, faut défalquer ceux qui s'en tapent éperdument, ceux qui vont faire joujou pendant deux semaines et vont remballer, etc.).

Maintenant il faut voir avec la concurrence des consoles Android... Si je compte bien on a quatre consoles sous Android à prévoir pour 2013. ça va être un beau bordel entre les comparatifs de prix, de performance, de manettes, d'exclusivités, etc.

La Ouya démarre avec un prix somme toute assez raisonnable. Un avantage sur les autres. Enfin peut-être pas sur la Gamestick.

Rah je sens vraiment que ça va être un boxon immonde

Il va y avoir des morts, beaucoup de morts !

Il y a de la place pour tout le monde.

Atari disait pareil au début des années 90

Beaupixel (./2) :
C'est comme les CPU de la game boy et de la lynx, z80 et 6502 étaient déjà au coeur des micro ordinateurs des années 70s/80s.

Ils avaient peut-être le CPU en commun... Mais c'est tout. Les jeux étaient différents, les développeurs/éditeurs à travailler dessus étaient différents, les consoles étaient différentes. Ici avec ces machines sous Android, presque tout est commun.

Nhut (./7) :

Beaupixel (./2) :
C'est comme les CPU de la game boy et de la lynx, z80 et 6502 étaient déjà au coeur des micro ordinateurs des années 70s/80s.

Ils avaient peut-être le CPU en commun... Mais c'est tout. Les jeux étaient différents, les développeurs/éditeurs à travailler dessus étaient différents, les consoles étaient différentes. Ici avec ces machines sous Android, presque tout est commun.

L'Atari 800 et le C64 avaient déjà des sprites. Pour les jeux, Toki sur Amiga était super, ce sont des français qui ont bossé dessus, beaucoup voulaient bosser sur la Megadrive. Maintenant, quand des informaticiens proposent leur vision de la console, ben ils font tout pour que çà ressemble pas à une console, c'est une question de culture.
Les fabricants de jouet:
Mattel : pour l'Intellivision ils ont tout fait sous traité, jeux, consoles et accessoires. Les dirigeants de l'époque n'y comprenaient rien à l'utilisation de l'informatique (pour vendre de l'amusement). Un ingénieur était à la tête du département crée à l'occasion, Mattel electronic, bien distinct du reste de la société. Et quand les joueurs ont fait une class action pour non disponibilité du clavier promis, les dirigeants ont vu rouge... Ils ont tout laissé tomber.
La société Coleco a sombré parce qu'ils ont proposé un ordinateur (adam), au lieu de sortir un nouveau modèle de sa colecovision. Les pro du jouet ne sont pas les mieux placé pour vendre des ordinateurs.
Nintendo a failli sombrer quand ils ont massivement investi dans l'agro alimentaire avec du riz instantané... bref, chacun son métier.

Je n'ai rien compris.

Nhut (./9) :
Je n'ai rien compris.

Il y a des similitudes entre la micro des années 80s, et les smartphones et tablettes d'aujourdhui.

D'accord, mais je persiste à penser qu'il y a BEAUCOUP plus de similitudes entre quatre consoles qui tournent sur le même système d'exploitation, qu'entre les micros et consoles des années 80.