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wendyLe 05/02/2008 à 10:18
montreuillois (./135) :
La seule chose qui lui faisait vraiment peur, c'était son père qui la menaçait dans le pire des cas de lui "arranger la cravatte", mais qui la plupart des temps avait suffisement d'applomb pour la faire filer droit, et ne lui a JAMAIS levé la main (ni le pied (merci Jamel)) dessus.

Le problème c'est qu'il y a certains enfants qui n'auront jamais peur tant que tu auras pas levé la main sur eux (qui teste les limites). Je suis d'accord pour eviter la violence physique jusqu'au bout mais de temps en temps c'est inévitable.
montreuillois (./135) :
Alors oui, je parle de maltraitance et pas d'un acte ponctuel d'un prof qui aurait réagi sur un coup de sang et face à une crise forte avec son élève, mais je tends à penser que la différence n'est pas grande, à l'heure où l'on parle de respect alors qu'il s'agit surtout de crainte.

Alors là par contre, pour moi la différence est grande. J'ai vu ce que pouvait donner la maltraitance en terme de séquelles. En revanche, on a presque tous reçu 1ou 2 gifles dans notre enfance/adolescence sans que ça ne nous traumatise le moins du monde. Ca vient peut être de mon tempérament méditérannéen cheeky mais je trouve qu'un coup de sang (se limitant à une gifle hein, pas un bastonnage en règle cheeky) n'est pas si grave (bien sur pas sur un gamin de 3 ans..).

Sinon pencil Nil sur le fait qu'on idéalise probablement ce qui se passait avant (surtout quand je vois ce que racontais mon grand-père grin). Mais avant il y avait l'armée pour recadrer les jeunes difficiles trioui
Celà dit, je pense que l'autorité des parents est peut être quand même en régression, surtout parce que certains parents n'acceptent pas leur rôle et veulent devenir les "copains" de leurs enfants.