Folco (./844) :
Et donc ? je devrais dire merci ? Tous les révolutionnaires auraient dû en faire autant alors. Non, je ne remercie pas, et non, je refuse au maximum du vivable cette putain de démocratie, à commencer par ne pas voter. On est pas du même camp et je ne fais pas leur jeu. Nous faire croire qu'on peut changer les choses avec un bout de papier à la main et génial, mais c'est parfaitement faux.
Rien ne t'empêche de monter ton propre parti et de te présenter aux élections hein... Les élections françaises sont ouvertes à tous. Après, évidemment, c'est plus dur d'avoir l'adhésion du plus grand nombre... (Surtout si ton programme s'apparente à un De Villiers hardcore)
Folco (./844) :
Pourtant si. Va lire l'histoire des financiers depuis la renaissance, et je peux pas le faire à ta place. Ou du moins, je l'ai fait, et j'ai autre chose à foutre (et toi aussi tu me diras) que te t'en pondre les volumes ici. Encore une fois, tu te berces d'illusions confortables parce que tu fais partie de cette caste, mais c'est criminel. Si les temps change, tu devras t'attendre à ne pas être mieux traité qu'un noble à la révolution.
Donc, au nom de la liberté générale, tu es prêt à restreindre celle d'une minorité de gens qui font partie du même corps de métier car tu es convaincu qu'ils ont plus ou moins mis en place une dictature du pognon. Et pour cela, tu es prêt à former un comité de salut public pour assainir la société, c'est toi même qui l'écris. Bref, tu veux remplacer une dictature par une autre. C'est à la fois un discours incohérent et dangereux.