montreuillois (./91) :
On est d'accord, je n'englobe ce "tout le monde" à aucun moment. A la différence de

Nhut (./42) :
Avec tous les problèmes que tu viens de citer, je pense que le droit de vote doit être le cadet des soucis des étrangers.

doit être != est

"Doit être" implique une supposition, ça revient à dire "peut-être que".

Ai-je dit: "AUCUN étranger NE VEUT voter parce qu'ils s'en foutent TOUS, et j'AFFIRME ça de façon CATEGORIQUE parce que JE LE SAIS et pas toi"?

montreuillois (./91) :

Nhut (./70) :
Je change la question: si l'étranger a les mêmes privilèges que le citoyen, quel serait l'intérêt alors de demander la nationalité française? ça voudrait dire que la nationalité française a de moins en moins de valeur, et la France aussi.

En quoi aurait-elle "moins" de valeur si on accordait ce droit de vote ?

Peux-tu répondre à la question? Si on a les mêmes privilèges qu'un citoyen du pays d'accueil, quel intérêt y a-t-il à en demander la nationalité? (= quelle valeur aurait alors la nationalité du pays, puisqu'un étranger a les mêmes privilèges)

OBO (./94) :
Une vrai unité mondiale ne pourra se faire que sous les coups de bottes dans la tronche, venant d'une bonne grosse dictature, après une catastrophe mondiale ou des évenements à répercussion mondiale.

Invasion extra-terrestre qui anéantit la moitié de l'espère humaine (destruction répartie un peu partout sur la Terre), et hop coalition mondiale. Mais même ça, une fois le danger écarté, ça tiendra pas. Tout redeviendra comme avant.

melbou (./105) :

Nhut (./62) :
Si on est un étranger de longue durée (= plusieurs années) sur le sol français c'est soit que la paperasse n'avance pas, soit qu'on en a rien à foutre de la France.

N'importe quoi, quelle mentalité d'abruti...

Ou bien que t'as pas l'intention de t'établir là sur le long terme Auquel cas je ne vois pas non plus l'intérêt de voter.