Hello,
Sur nos Hydroën, pour chaque modèle particulier, on a déjà du mal à cerner les sphères, par leur volume, leur pression de base. Qui est la seule info que les fabricants de sphères donnent, et on espère qu'elle soit correcte à l'achat malgré l'inévitable uniformisation des références dont parle souvent Fabi1, et qui est une réalité à prendre sérieusement en compte.
Plus ardue encore, est la bonne sélection des complexes clapets d'amortissement livrés d'office avec ces sphères. Et là - mizzzère de nous - on a les pieds liés dans l'dos et les deux mains dans l'même sabot. On ne sait rien de rien sur les caractéristiques du bloc clapets livré. Mis à part au mieux, le diamètre du trou central, qui ne gère que les écoulement lents, donc les faibles fréquences de mouvements de caisse. En vrai Français : -> l'effet vomito si recherché sur les premières Hydroën. Tout le reste du temps dans la vraie vie, le contrôle du mouvement de chaque roue en dynamique, se fait par les clapets à ouverture progressive, sertis à l'entrée de chaque sphère.
Sertis. Voilà le mot - bascule. Si le bloc clapet n'était pas serti, alors on pourrait combiner des nouvelles sphères, avec l'ancien bloc-clapet, ou vice - inversa,à l'infini.
Mais comme c'est serti, on ne peut pas. Et c'est vraiment très très ballot. Ça tient vraiment à pas grand chose au final.
Séparer la fonction ressort (la sphère) de la fonction amorto (le clapet), pour les tester séparément, cela a sûrement déjà été tenté dans l'histoire Hydroën, mais par qui, et y en a-t-il des traces ?
Et question subsidiaire : sur BX tous types, les clapets semblent bien de même calibre, même diamètre extérieur, non ? Et sur pas mal d'autres Hydroên aussi ?
Vous m'voyez venir : du coup s'il faut fabriquer un montage test d'amortissement dynamique, il serait rentabilisé pour des millions de clapets : soit autant de modèles Hydroën en circulation, fois quatre blocs clapets pour chacune.. Ca fait du monde...
Une machine qui reproduit la réaction d’un empilement de clapets soumis à des mouvements de fluide de diverses soudaineté, c’est le B-A BA il me semble chez tous les fabricants de suspension, ou de circuits hydrauliques en général. Ca sort une double courbe vitesse / résistance : en compression / en rebond. Pile ce qu’on veut savoir. Et notre chance, c'est que de telles machines existent, vu qu'elles ont même été fabriquées pile pour mesurer ça.
Faut que la bécane de test, tienne ici compte du fluide utilisé (du LHM, voilà le scoop ! ), de sa tempé de fonctionnement normale, et de la pression à laquelle il travaille, très élevée ici, ça c’est super important ! Pas de cavitation, etc.
Ca a déjà-t-il été évoqué dans le monde Citron gazo-visqueux ?