Zeph (./37467) :Y'en a qui sont plus rigolos : https://mk.absturztau.be/notes/ac4flpaaskjc0231
Intéressant avec les exemples
(cliquez sur les images pour zoomer si vous ne voyez pas le souci)
Zeph (./37467) :Y'en a qui sont plus rigolos : https://mk.absturztau.be/notes/ac4flpaaskjc0231
Intéressant avec les exemples
Dès le départ, les choses commencent mal : alors que ces sites proposent plusieurs solutions de vérification, à savoir AgeGO ou Yoti, avant même que le moindre clic soit fait une requête est envoyée vers les serveurs d’AgeGO, contenant non seulement l’adresse du site que l’utilisateur souhaite consulter mais aussi celle de la vidéo exacte qu’il souhaite visionner. Aie, première entaille dans le contrat.(en chœur) « Oh ben ça alors, quelle surprise ! »
Ensuite, si AgeGO est sélectionné, l’utilisateur se voit proposé de prendre un selfie pour vérifier son âge. AgeGO utilise ensuite les services d’un autre prestataire, qui n’est mentionné nul part dans ses conditions d’utilisation, seul le fait que celui-ci « respecte les directives EU-US sur la vie privée » est indiqué.
Le prestataire n’est autre qu’Amazon, avec son service AWS et sa technologie Amazon Rekognition. Ce qui veut dire que le flux total de la webcam de l’utilisateur est envoyé vers les serveurs d’Amazon, ainsi que son adresse IP, l’user agent de son navigateur, et le fait qu’il souhaite accéder à un site interdit aux mineurs (le site exact n’est pas précisé à Amazon). Aucune garantie n’est donnée concernant le traitement des données acquises par AWS : Amazon peut très bien les effacer après utilisation... ou pas. Aie, seconde entaille.
Cerise sur le gâteau, AgeGO oblige l’utilisateur à laisser une adresse e-mail à la fin du processus de reconnaissance faciale. S’il est possible de mettre n’importe quelle adresse, y compris fausse, cette étape n’est absolument pas requise par les autorités.
UK supermarket giant Tesco has sued Broadcom for breach of contracts pertaining to its VMware licenses, named Computacenter as a co-defendant, and warned it may not be able to put food on the shelves if the situation goes pear-shaped.
Court documents seen by The Register assert that in January 2021 Tesco acquired perpetual licenses for VMware’s vSphere Foundation and Cloud Foundation products, plus subscriptions to Virtzilla’s Tanzu products, and agreed a contract for support services and software upgrades that run until 2026. Tesco claims VMware also agreed to give it an option to extend support services for an additional four years.
All of this happened before Broadcom acquired VMware and stopped selling support services for software sold under perpetual licenses. Broadcom does sell support to those who sign for its new software subscriptions.
The supermarket giant says Broadcom's subscriptions mean it must pay “excessive and inflated prices for virtualisation software for which Tesco has already paid,” and “is unable any longer to purchase stand-alone Virtualisation Support Services for its Perpetually Licensed Software without also having to purchase duplicative subscription-based licenses for those same Software products which it already owns.”