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pourquoi Moncalm a t-il voulu affronter les Anglais, sans attendre les renfort qui arriver de montréal.
c'est une belle journée pour mourir.

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Bonjour

Suite au débarquement des troupes Britannique sur les plaines d'Abraham, Montcalm craignait que ces derniers n'établissent des tranchées pour faire le siège de la ville de Québec. Il faut savoir que la ville n'était aussi murée qu'aujourd'hui, les moyens de défense étaient surtout représentés par des grandes mais faibles palissades de bois. En conséquence, un siège de plusieurs jours aurait pu être fatale à la ville. Bien préparé par l'artillerie, un assaut des Britanniques aurait permis la prise de Québec.

Cependant, un assaut des Britanniques sur Québec aurait demandé pas moins d'une semaines de préparation d'artillerie. Dès lors, Montcalm aurait pu sagement attendre que les renforts de Bougainville et de Lévis arrivent sur les flancs des Britanniques du général Wolf. Malgré tout, il semblerait que Montcalm ai perdu son sang-froid et aurait décidé, sur le champ, que l'on effectue une sortie avec la garnison Franco-Canadienne de Québec, cela afin de livrer une bataille rangée et de bouter les Britanniques à la mer.

Livrer une bataille rangée, ce n'était pas forcément une mauvaise idée, mais fallait-il encore savoir la livrer. L'armée Britannique était loin d'être supérieure à l'armée Française, la preuve avec les victoires que l'armée Française remportât au cours de la guerre de succession d'Autriche (Fontenoy 1745, Raucoux 1746 et Lawfeld 1747). Cependant, lorsque le chevaliers de Lévis, le meilleur tacticien du corps expéditionnaire Français d'Amérique, n'était pas aux côtés du marquis de Montcalm, celui-ci s'avérait être un général limité au niveau du commandement.

La preuve avec la bataille du 13 septembre 1759, la bataille des plaines d'Abraham.

Montcalm commet, en premier lieu, une erreur de positionnement tactique. Il avait pourtant, au départ, positionné ses troupes Franco-Canadienne sur une hauteur, rien de mieux pour accabler, sans être touchés, les Britanniques par une série de salves bien nourries. Cependant, étrangement d’ailleurs, Montcalm décidât de faire descendre cette hauteurs à son armée et la fit positionner en bas de celle-ci, cette descente complètement improvisée serrât fatal aux Franco-Canadiens.

En effet, la descente de la hauteur se fit dans un désordre notoire, dès lors, arrivés en bas, les troupes Franco-Canadienne n'eurent pas le temps de former leurs lignes qu'ils se virent déjà touchés par deux énormes salves que tirèrent les soldats Britannique. En conséquence, ce feu installât encore plus de désordre dans les rangs Français et, suite à une charge à la baïonnette des Britanniques, les Français n'attendirent pas le choc et se retirèrent, en déroute, dans Québec.

La retraite put se faire sans poursuite car les miliciens Canadiens, qui étaient restés en arrière-garde, taillèrent en pièce, plusieurs régiments de soldats Britanniques (notamment des Highlanders Ecossais) par l'intermédiaire de salves bien nourries et meurtrière.

La bataille coûte 900 hommes aux Français et pas moins de 400 aux Britanniques. L'on a souvent fait croire que Montcalm avait été tué suite à une blessure provoquée par une balle ennemie. Hors, c'est une légende, d'après les archives Canadienne, il aurait été abattu dans le dos par un milicien Canadien rendu furieux par la débâcle des troupes Française!

Seulement, même si elle fut une victoire des Britanniques, il serait faux de dire que la bataille des plaines d'Abraham fut la conséquence direct de la chute de Québec. En vérité, la ville pouvait encore résister pendant plusieurs jours et attendre les renforts de Bougainville et de Lévis. Cependant, profitant de la mort de Montcalm, ce sont les habitants, eux-mêmes, qui livrèrent la ville aux Britanniques. Les bourgeois de la ville ne supportaient plus le coût élevé de la guerre, les habitants mourraient de faim, une grande famine régnait dans la ville. Dès lors, le chef de la garnison Française, suite aux pressions et aux menaces des habitants de Québec, donnât la place aux Britanniques.

Quand au chevalier de Lévis, il n'arrivât, malheureusement, que le 18 septembre aux environs de Québec. Dès lors, il était trop tard car les Britanniques avaient déjà pris possession de la ville. Plus tard, ayant été mis au courant du pretexte de la livraison de Québec aux Britanniques, le chevalier de Lévis s'emportât vivement : " il est inouïe que l'on livre un place sans qu'elle soit attaquée ni investie !"

Bien plus tard, après avoir passé l'hiver à Montréal, le chevalier de Lévis essayât de reprendre Québec. Il remportât une prompte victoire sur les Britanniques, le 28 avril 1760, à la célèbre bataille de Ste-Foy. Cependant, suite à un manque de munitions et à l'intervention de la flotte Britannique, Lévis ne réussit pas à faire tomber, par l’intermédiaire d'un siège, la ville de Québec. Par la suite, enfermé dans Montréal avec une armée en manque de munitions et composé, à moitié, de blessés et de malades, Lévis se vit obligé de capituler devant les 20 000 Britanniques qui avaient encerclé la ville. La Nouvelle-France avait vécue..

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je pense plus que c'est parce que montcalm ne voulait pas partager le succée d'un bataille gagner avec un autre ?
c'est une belle journée pour mourir.

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J'aimerais avoir des chiffres sur la différence des forces militaire (nombre de soldat,de millicien) présent dans chaque camp pendant l'affrontement. Je vais utiliser c'est donner dans un de mes travaux d'histoire. Merci de votre aide.

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wolfe dispose de 4 800 soldat régulier et 2 canon sur les plaine d'abraham

moncalm dispose de 3 500 homme en majoriter des milicien plus des amérindien (quelque centaine), plus 5 canon de 12, 6 et 4
c'est une belle journée pour mourir.