Doh Disparition - Page 16

Salopard  !

pwnt !

Ca parait trop dur pour moi !

mais non

mais si

Mais chut à la fin !

Voilà  !

Amas d'idiot ! Batârds impuissants ! Connards à l'anus pourri ! Salauds !
On vous dirait pas foutus d'avoir un post plus grand qu'un mot !
"Punch", "impulsion", "mordant"... Autant d'allocutions qu'il vous faudrait... Sans quoi nous n'aurons jamais la jubilation qu'on pourrait avoir vous lisant. Sans quoi j'aboutirai toujours à vous punir (j'ai la passion d'un ouragan !), au moins autant qu'ici (sinon plus fort !).

Un mot, ça suffit pas ; ça suffira JAMAIS.

Bravo, hip hip hip !
Tu nous fais voir un travail sympa!

Parmi un topic nourri par du mono-mot, par du post amaigri, rabougri, à un point qu'on rit tout badins, ton bifton luit à ravir, tout farci qu'il fut d'un fatras long mais surtout sans ascii pourri.

A coup sûr ça doit aigrir un brin d'avoir à mûrir à fond un post pourtant si minus, non?

Rahhh

Voilà l'aval du grand pacha... On aura tout vu, surtout ton chaud propos in topic pour nos courrants flous

Patrick Pourrait Haïr Dimitri vu l'info... non ?
(ça paraît court, mais un combo par trois, ça fait star ^^ - info du jour, PpHd, disparition)

Nil (./462) :
Patrick Pourrait Haïr Dimitri

oh la la, tu voudrais donc discourir ici sur un troll aussi abondant?

Sympa mais sans moi - dans un topic sans aucun "rond pas tout à fait clos, fini par un trait horizontal" (dirait un brillant plumitif) ça paraîtrait un boulot pour maboul.

Pourtant j'y vais un chouilla : l'ours du nord a assailli son voisin idiot, fallait pas nourrir l'indignation du grand, voilà!

Surtout si l'idiot dit "Sam va surgir" alors qu'il faudrait pas qu'on ignorât qu'il a du souci pour l'Iraq.

Nil (./462) :
Patrick Pourrait Haïr Dimitri vu l'info... non ?
(ça paraît court, mais un combo par trois, ça fait star ^^ - info du jour, PpHd, disparition)

Oh ! Joli !
Tu l'as mis trois fois d'un coup, sur trois topics ?

Tout d'abord j'allais aplanir ton look d'un coup brutal (sans m'auto-applaudir, j'ai un poing qui fait mal, surtout aux cons), car on avait dit qu'il fallait punir tout post court sans raison.

Oui, j'avais cru à un post court sans raison, alors j'allais sortir mon poing droit pour éclaircir ton imagination ; car j'avais mal pris ton abdication.

Mais non ! A mon avis, ton travail pourrait valoir un yAroscar !

Charmant but qu'abolir la loi qui voudrait qu'il n'y ait pas d'apposition d'un post commun sur trois topics distincts, ou plus !

Supprimons donc nos instincts dictatoriaux, laissons l'ami Nil nous offrir son art aussi innovant qu'insoumis !

Bravo !

Post-Scriptum : Moi qui suis connu pour mon choix du PCF, l'insoumission j'ai ça dans mon sang. Alors Nil, si par hasard tu l'as aussi... Il y a trois trucs à savoir. ça nous garantit l'organisation dans l'action, la concision dans l'agitation :
-Trotski trahit nos combats
-Trotski a un cul puant
-Stop aux gaucho-trotskards !

Mais il y a aussi LA loi du militant, à savoir "Ni LCR ni SUD, PCF plus CGT !"

Arnsy, tu applanirais un modo ? Chapo ? Un kick garanti avec raison !

-"avec" +"non sans"

-« PCF et CGT » +« PCF ou CGT »

Arg ! Ma vision ! Ça y fait tout brûlant par vos immoraux signifiants qui sont mis aussi loin qu'à « d » qu'à « f » !...

Il faudrait qu’on marchât : un jard sans cailloux (mais il tua son copain lors d’un dur naja pour s’y salir par un zazou qui, lui, cassa un habit), sans attraits car il bavait son tan au trou (mais il sauva son bras : il disait toujours qu’à la gustation, il y barra) lors d’un chaud matin, il brailla qu’alors, niant, dans du tanin, il n’y zigzaga pas. Un nom tout coi — Vingt-Cinq-Ibis-Il — dirait qu’on nattât, marchant dans du silicium, pour avoir quis à un pont. Il badait toujours, qu’à la douma, tout droit, vingt-cinq jours, lors, d’un bon nain (car il avait mis), son sirop au sol vit au loin un grand oasis nullifiant dans du raisin ; il courait toujours, qu’à la fin — un individu sans boisson — il s’avisa qu’adonc pour ourdir un nabab, il zappa qu’hui il y coura ; mais il utilisa son dû par un boulon qui, lui, figura (pour s’y quichuaïr mais il fut trahis), unifia. Au kacha, un frais nom warranta à la maison un hircin porc. Il n’y avait pas d’oasis par un ami qui lui dit, pour s’y rafraichir : «  Mais il fut rassis car il avait lu son radis au ragout tout froid (vingt-cinq kilos). » Mais il fut suivi : il garantirait qu’on occupât, pour partir à l’oasis (il n’y but pas), un pot. Il y dut.

Du polonium 210 dans un cigarillo à Marlboro !

Wo Bovido ! C'i Mounir, mon frir, y m'a dit di ti dir qui t'iti un connard !

(chuis disouli )

-i +ou

Un lunch amical :

Quand Gaston hachait un ichtus, l’instit jura qu’un jurat kiffait qu’un amiral bâfrât. Mais la cour dina d’un fricot : la moussaka nourrit un Ostrogoth ; mon ognon puait ; mon nougat occupait la lady, mollissait. Un Normand (un zombi) arriva. Un koulak lut qu’hui (mais la baba consomma un daïquiri quand Haïssa ingurgitait un jambon) la koubba louait un Marocain. Un bol cassa quand François gavait un hocco. Mais la discussion fâcha un gourou. Mon plat quadrupla.

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Nil > Ton vilain juron arrivant par toi m'a fort surpris !

Post d’avant : 31/08/2008.
Cinq mois plus tard, nos grillons d’alors (mais si, août, mois du grillon chantant ! (oui, oui, juin aussi …)) sont cois, prix du froid blizzard d’ici ou là.
Mais l’ours blanc, la nuit durant, dit-on, six mois là où il vit, sait qu’un pingouin (pas un manchot !) vaut plus qu’un grillon, car ça, au moins, ça nourrit !
J’ai… j’ai faim …

+il #contribution#

Ctrl X, Ctrl V… paf ! oubli banal…
Thanks.

L’animal poilu sans coloris huma l’air, scruta la nuit, aussi loin qu’il put.
Aucun pingouin à l’horizon, aucun poisson non plus.
Tant pis, dit l’ours blanc, partons.
Il alla droit au nord, pour son froid pays toujours gris.


L’ours blanc, futur roman au tampon « Oulipo »  ?

Nil, habitant du lac^(*) voisin, somnolait d’un iris non clos.
L’ours blanc alla par là, toujours tout droit, toujours du sud au nord.
Nil vit l’ours : l’Amour frappa, brutal, soudain.
L’ours vit Nil : l’animal frappa, brutal, soudain.
L’ami Nil tomba, son os occipital fut un glas sonnant ; il n’alla pas plus loin, quasi-mort (pas tout à fait, mais bon…), qu’au sol, parfois si bas.
L’ours blanc continua, son but toujours au nord, ni chaud ni froid au sort du gisant.


(*) Bisou Nilou  !

L'ours n'avait donc pas faim ??

non.
pas un instant.