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Jeux vidéo: Wanadoo Edition cédé à son ancien dirigeant

Sauveur de Microids en juin 2003, devenu depuis MC2 Entertainment,
Emmanuel Olivier est également l'un des anciens dirigeants de Wanadoo
Edition, qu'il vient de racheter. De son côté, en se séparant de sa
filiale, Wanadoo prend 12% du capital de MC2.

La filiale de France Télécom a choisi de se séparer de Wanadoo Edition,
le segment de sa division "portails" consacré à l'édition de jeux vidéo
"offline", sur cédérom pour PC. Cette activité a été cédée à la société
française MC2 Entertainment. Pour Wanadoo, depuis le début de l'année,
la priorité n'est plus à la création de contenu "en propre" et la
société s'est recentrée sur ses activités d'annuaire et de fournisseur
d'accès. Mais elle conserve une activité de jeux en réseau avec son
label Goa.

Il s'agit du nouveau nom de l'éditeur et distributeur de jeux vidéo
Microids, depuis qu'il a été sauvé de la liquidation judiciaire en juin
dernier par Emmanuel Olivier. Ce dernier n'est pas un inconnu dans ce
secteur: il est le fondateur de la société d'édition de logiciels
culturels Index+, qui fusionnera en 2000 avec France Télécom Multimédia
Edition pour créer. Wanadoo Edition.

Emmanuel Olivier a quitté la direction de cette dernière en 2001. Pour
se porter, par la suite, au secours de Cryo SA, en finançant une partie
de son rachat via la société Dreamcatcher. Sa vocation de chevalier
blanc s'est poursuivie cette année avec la prise en main de Microids.
Dans ce contexte, le rapprochement avec Wanadoo Edition est plus
compréhensible.

Les détails financiers de la transaction n'ont pas été dévoilés. Tout
juste sait-on que Wanadoo deviendra actionnaire à hauteur de 12% de MC2
Entertainment, une fois l'opération achevée. Wanadoo Edition a réalisé
un chiffre d'affaires de 28,2 millions d'euros en 2002. Parmi les titres
phares de la maison: "Haegemonia: Legions of Iron".

«Cette cession permet à Wanadoo de recentrer sa stratégie dans le
domaine des jeux on-line autour du label Goa et de donner au catalogue
développé par Wanadoo Edition un accès nord-américain au travers de la
filiale canadienne de MC2, Microids Canada», explique le fournisseur
d'accès.


J'ai pas la source sorry :/

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emmanuel olivier.........grand sauveur du jeux video francais??????
oui



bisoo
l homme n est pas fait pour travailler.....
la preuve ca le fatigue!!!!!

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Il a qqs bonnes recettes sous le coude apparement... mais bon du point du vue des joueurs, les sociétés citées ne brillent pas trop ^^

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Sauver les maisons d'éditions francaises n est pas tout, encore faut il qu elles aient les moyens de faire de bons jx !
Et je ne parle pas de moyens financiers ms artisitiques, car depuis la glorieuse époque de Flashback et Compagnie, je n ai pas vu grand chose à l horizon, et pourtant j 'ai scrutté ...
Blur the line between the Life and the Game

www.hobbyjapancollection.fr.tc; le site de ma collec. de trucs japs ki servent à rien d'autres qu'à encombrer des étageres !

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Normal, les gens doués en france sont soit bridés par les boites, soit ils vont bosser à l'étranger...

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... ou alors ils quittent le monde des jeux vidéo...
Previously known as Damdam

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aussi

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moi je voie les chose un peu autrement.........si il n y a plus de boite en france qui font des jv(meme mediocre)il n y auras plus de jeux video francais du tout, alors que la,on peut esperer un retour de la french touch a la delphine software...........
l homme n est pas fait pour travailler.....
la preuve ca le fatigue!!!!!

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bah, y'en a encore des boites de jeux video en France, le tout est de savoir si on parle de développeurs ou d'éditeurs... Chez les développeurs, on a Etranges Libellules par exemple (ce sont eux qui ont fait Kirikou édité par... Wanadoo Editions wink et quelques circuits de V-Rally3), je trouve qu'ils reprennent bien le flambeau du jeu vidéo à la française avec Asterix XXL ou le futur Scary Tales.

Il y en a pas mal d'autres qui développent en France, mais les cibles ne sont plus les mêmes : il est plus facile et moins couteux de commencer à développer sur une plateforme du type téléphone mobile ou PDA. Seuls les studios ayant suffisament d'appuis financiers peuvent se permettre aujourd'hui de développer sur consoles ou ordinateur...
Previously known as Damdam

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C'est vrai... développer un jeu, aujourd'hui ressemble beaucoup à tourner un film :
- D'un côté, les blockbusters énormes, blindés, en grosses équipes, qui écrasent tout sur leur passage
- D'un autre côté, les petits développeurs "anonymes" qui, un jour, comme ça, on ne sait pas pourquoi, vont sortir une production très surprenante (ça a été le cas de Cavedog, par exemple).
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