150

Et quand on s'enerve facilement, ca s'appelle comment ?

Nan, si je te demandes de definir ces mots, c'est parceque tres certainement nous avons des nuances dans nos definitions de concepts tels que le stress.
Regarde : moi et PpHd avons deux definitions contradictoires de ce qu'est l'angoisse.


En intelligece artificielle, nous avons fait le test suivant : tente de definir l'intelligence. Dans ta definition, tu ne dois utiliser seulement des mots que tu sais definir par d'autres mots que tu sais definir, etc.
Quand tu ne sais aps definir un mot (comme angoisse, stress ou meme peur) tu n'as pas le droit de l'employer.

J'attends donc ta definition de l'intelligence en utilisant ce principe...
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

151

L'intelligence, c'est.

152

honnetement ca me fait chier
peu etre que sur les nuance c different ms ds la globalité c le meme sens !!!
ALASKA premiere album "watertight"

premiere sortie du label furne-records
dispo ici

153

C'est quoi ta definiton de "sens" et de "meme" ?
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

154

c ca vtffvtff
ALASKA premiere album "watertight"

premiere sortie du label furne-records
dispo ici

155

Dessin animé japonais de Satoshi Kon.

Premier d'une nouvelle rafale de longs métrages animés japonais à sortir en France cette année,
qui tenteront leur chance après les rendez-vous manqués des pourtant remarquables Porco Rosso et
Le Tombeau des lucioles), Perfect Blue n'est pas l'entrée en matière idéale pour découvrir ou
réhabiliter une production souvent étonnante. Destiné initialement au marché de la vidéo et de
la télévision, ce manga animé souffre en effet d'un niveau d'exigence technique et artistique
très insuffisant pour le grand écran, malgré la présence au générique de Katsuhiro Otomo (Akira)
en tant que superviseur général : animation parfois saccadée et le plus souvent réduite au
minimum, foules statiques, expressions monocordes?
Premier long métrage de Satoshi Kon, Perfect Blue appartient à la veine réaliste prisée par de
nouveaux auteurs, davantage réalisateurs que dessinateurs (dont Jin-Roh est l'exemple le plus
réussi), qui ouvre une deuxième voie au côté de la veine plus classique de la science-fiction,
du fantastique et du merveilleux (dont Mon voisin Totoro reste le modèle éblouissant).
Tout comme l'animation, qui par moments laisse percer une ambition plus importante, ou le
graphisme, qui trouve à s'exprimer pleinement dans le rendu de quelques décors, le scénario fait
preuve de certaines audaces qu'un total manque de maîtrise des méandres du récit finit par
étouffer. L'histoire est celle d'une jeune chanteuse de girls band qui veut se reconvertir et
casser son image d'idole des adolescents en jouant dans une série télé, en tournant une
traumatisante scène de viol et en acceptant de poser nue pour un magazine de charme. Les fans ne
suivent pas, elle-même est poursuivie par le fantôme de son ancien personnage, mais aussi par un
otaku (ou « fan hard core », admirateur obsessionnel comme le Japon en connaît tant). Sur un
sujet moult fois traité (La Valse des pantins, Le Fan?), le projet de ce dessin animé pour
adultes semblait être de tirer de la nouvelle de Yoshikazu Takeuchi une approche originale et
spécifiquement japonaise. Mais fausses pistes, passages de la réalité aux cauchemars et
fantasmes, manipulations sur Internet? embrouillent l'intrigue au-delà du raisonnable (et,
rétrospectivement, du vraisemblable).
Il y a un vrai fossé entre fond et forme, qui rend ici le film incompatible avec le public
auquel il est sensé s'adresser. Les adultes devront attendre Jin-Roh et les familles (les
parents aussi ravis que les enfants) Mon voisin Totoro.

Gilles Ciment


QU'IL AILLE SE FAIRE FOUTTRE CE CRITIQUE DE MES COUILLES QUI A RIEN COMPRIS AU FILM !!!!!!!

156

Mima est l'une des trois dernières chanteuses de Cham, un groupe d'idols en declin (elles étaient 5 à l'origine). Et c'est lors d'un grand concert qu'ellev apprend la nouvelle à ses fans: elle abandonne elle aussi le groupe
et la chanson pour se lancer dans une carrière de comédienne. Ce que personne ne sait, en revanche, c'est que cette décision n'est pas de son ressort, mais de celui de son impressario qui juge que cette voie sera plus
lucrative à long terme qu'une carrière d'idol. Aussitôt dit, aussitôt fait; voilà Mima jouant dans une série TV policière très sombre (à rapprocher de Twin Peaks).

Des évènements étranges se produisent cependant autour d'elle depuis ce changement : tous les faits et gestes de Mima, même les plus intimes sont mis à disposition de tous sur Internet sur le site "Chez Mima", géré
par un certain Mimaniac. De plus, des attentatssont commis dans son entourage, rappelant étrangement les meurtres ponctuant la série dans laquelle elle joue. Tout ceci fait sombrer notre héroïne dans une déprime
profonde, où se mêlent paranoïa, psychose et schizophrénie, où apparaît une autre Mima qui n'a jamais quitté le domaine de la chanson, heureuse de vivre et qui veut prendre sa place. Mais laquelle des deux Mima est
la vraie, laquelle est un fantasme?

MANIPULATION


Tout le film peut se résumer en ce simple mot : tout le monde manipule tout le monde. Ainsi, le scénariste de la série dispose des personnages à sa guise et fait faire
aux acteurs ce qu'il veut (ou presque); Mima obéit aveuglément à son impressario et à Rumi, ancienne Idol, bras droit de l'impressario de Mima et servant de nounou
à cette dernière lors de ses gros cafards ; Mimaniac est manoeuvré par son correspondant sur le web, et manipule lui aussi Mimaen l'épiant sans cesse (voire plus).
Seule Mima n'a aucun pouvoir sur quiconque, manipulée par tous. Le costume de scène qu'elle porte au début du film et qu'arbore la Mima "rêvée" est d'ailleurs à
rapprocher des vêtements portés par les marionnettes italiennes de la Rennaissance (sorte de tutu rose qu'on retrouve également sur les personnages de boîtes à
musique).




Cependant à trop jouer avec un jouet, on finit par l'abîmer. Et Mima se brûle le ailes sur cette gloire que veut à tout prix son impressario : les personnes de son entourage meurent, elle a perdu tout contact avec les
autres membres du groupe Cham, elle déprime car sa vocation première était le chant, et, pour finir elle doit poser nue et tourner une scène de viol afin de paraître plus mûre aux yeux du public, ce qui la traumatise.


Kon Satoshi est également maître dabs l'art de manipuler le spectateur. Souvenez vous d'Akira : lors de sa premièe crise de manque, Tetsuo voit subitement ses entrailles
se répandre au sol et le plan suivant nous le montre en agitant ses bras dans le vide, essayant de faire rentrer ses intestins. Eh bien, ce principe est répété à l'envie dans
Perfect Blue, mais de façon encore plus insidieuse : on voit des scènes marquantes se succéder (telle celle de l'assassinat du photographe), mais on ne sait jamais si ces
instants étaient réels ou le fruit du cerveau dérangé de Mima (contrairement à l'exemple de Tetsuo). Kon pousse encore le vice en achevant des scènes de la même façon,
par une Mima qui se réveille subitement, alors que la télévision débite le même flash d'informations.


Enfin, les pistes sont encore plus brouillées par des extraits du feuilleton intercalés de manière très subtile : le texte et les gestes de Mima s'appliquent parfaitement à ce qui lui
arrive, mais il ne s'agit que de son jeu d'acteur.

Bref, ce long-métrage gagne à être vu deux fois (au moins) : il prend un tout autre aspect une fois qu'on en connaît les tenants et aboutissants (un peu comme de grands polars tel
Seven ou Usual Suspects).



157

JAPON : TERRE DE RÊVE ?

Cependant, Perfect Blue n'est pas forcément facile d'accès pour l'animefan lambda. En effet, c'est une description sans fioriture ni embellissement du Japon qui est faite dans ce film, ce qui peut choquer celui que
vénère ce pays. Tôkyô est montrée telle quelle : une mégapole surpeuplée où le seul mot d'ordre est "plus vite". Ainsi, les groupes d'idols naissent, atteignent le sommet avant de retomber dans l'oubli le plus total en un
temps record. Les otaku ne sont pas laissés de côté : à travers Mimaniac , l'obsession de ces jeunes japonnais, quelle qu'elle soit (anime, idols...) est vivement critiquée, notamment lors d'une scène poignante où
Mimaniac, persuadé de converser avec Mima par e-mails interposés, voit ses posters s'animer et lui parler. Les "bad boys", si souvent présentés comme des loubards au grand coeur dans les mangas et anime (Yû Yû
Hakusho, Be Bop High School, Slam Dunk...) sont montrés tels quels : des voyous, sans plus ni moins.


Mais surtout, Perfect Blue dénonce l'ambition, fièvre qui guette le plus commun des salarymen, maladie qui manque de détruire la plupart des protagonistes : Mimaniac, qui rêve de
posséder Mima; le scénariste du feuilleton, infligeant des "sévices" aux comédiens (via le script) pour faire de l'audience; Rumi, frustrée d'avoir dû abandonner sa carrière d'idol, et
surtout Mima, à travers laquelle l'impressario peut goûter aux délices de la gloire qu'il n'a quasi-jamais connue.

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UN FILM HORS NORME

Un autre point qui risque d'en décontenancer plus est la réalisation. En effet, ce dessin animé aurait pu être un film live, tant il est ancré dans le réalisme. En dehors des chanteuses du groupe Cham, tous les personnages
ont les traits caractéristiques des japonnais : cheveux bruns, yeux bridés, peau jaune - exit les grands yeux et les cascades de cheveux, arguments massue des détracteurs du genre!


Deux détails techniques sont également à noter. Tout d'abord, l'animation classique, sans image de synthèse, absolument remarquable. Là où d'autres anime ont des allures de jeu
vidéo, les décors sont ici splendides. Les décors sont sublimes, très réalistes, rendant d'autant plus glauque l'aspect de la vie tokyoïte.




Le deuxième point est caractéristique de la différence qu'entretient Perfect Blue avec le tout venant de la production nipponne. quand Mima effectueses photo de nu, on voit des poils pubiens, alors qu'il n'y aucun
érotisme dans ce film. Kon prend le risque d'aller à contre-courant des habitudes, s'adressant ainsi à un public mûr, adulte (tendance également remarqué dans de "vraies" revues).

Ces deux détails prouvent d'un point de vu purement technique et esthétique, la marginalité de Perfect Blue. Mais c'ezst surtout par son ambiance oppressante que ce long-métrage se distingue.

UN FILM DECONSEILLE AUX ÂMES SENSIBLES


De plus il est très rare de voir un dessin animé "d'ambiance". Ce n'est pas tant les scènes d'action ou de violence (le film tourne parfois au gore, avec par exemple un cadavre
énuclé) que la perte de repère, la sensation du glissement de Mima vers la folie qui rend ce film insoutenable : on finit d'ailleurs par devenir tout aussi paranoïaque que Mima. Cette
angoisse perpétuelle est soutenue par une ambiance sonore assez marquante : la mélodie des Cham, une chansonnette easy-listening, devient au cours du film une mélodie
mortelle : celui qui entend cette chanson va alors connaître un destin fatal.


Il est à noter d'ailleurs que la dernière apparition sur scène de Mima avec les Cham s'ouvre sur un fondu au blanc (juste avant l'apparition du titre sur l'ecran), méthode également utilisée dans Millenium, série diffusée
actuellement sur nos petits écrans.

Enfin, l'onirisme des scènes où Mima discute avec son "double" parachève le climat lourd, pesant, morbide qui caractérise le film : la jeune fille éffondrée enfoncée par le poids des évènements se trouve en face d'une
autre Mima, joyeuse, semblant voler dans les airs, qui lui apprend en riant qu"'elle va récupérer sa place". L'ultime confrontation entre les deux Mima donne d'ailleurs lieu à une scène de poursuite d'anthologie, où
étrangement ce sont les reflets qui disent la vérité, renforçant l'interrogation qui nous poursuit durant tout le film : qu'est-ce qui est vrai? Qu'est-ce qui ne l'est pas?

159

PARI RISQUE

C'est donc ce dessin animé étrange qui va être diffué dans les salles obscures à partir de seotembre. Ghost in the Shell avait fait des résultats assez satisfaisants, sans plus. On est alors
en droit de s'inquiéter pour ce long-métrage atypique, à l'ambiance malsaine : si le scénario peut paraître plus simple que celui de Ghost in the Shell, il est néanmoins parsemé de
chausses-trappes dans lesquelles les spectateurs ont tôt fait de s'engouffrer; et Perfect Blue est un polar, un vrai, beaucoup plus noir et sanglant que le film d'Oshi. Une interdiction au
moins de Douze ans (voire seize) est à craindre, ce qui interdirait le film aux plus jeunes (à qui cela ne s'adresse pas de toute manière). Ce film s'inscrit également dans une politique de
sortie cinéma des plus surprenantes en France, car nous aurons ensuite droit à Jin-Roh mais aussi deux concurrents de poidsavec Mon voisin Totoro et Mononoke Hime
respectivement en novembre, décembren janvier.



La splendeur des deux productions Ghibli ne doit pas faire oublier Perfect Blue, véritable petit joyau noir qui mérote amplement une diffusion au cinéma, lieu idéal pour vous faire frissonner. Cette occasion sera
peut-être la dernière avant bien longtemps si les résultats sont décévants.


805 d'accord avec lui.
Question : Pourquoi je suis pas alle le voir en salle ? mourn A-t-il fait de bons scores ?

160

Au tant vous le dire tout de suite, Perfect Blue n?est pas un film pour " enfant ". L?histoire y est glauque à souhait et les
événements se présentent à la manière d?un bon thriller psychologique. Voyager dans Perfect Blue c?est confondre réalité et
cauchemar, c?est percer le psyché humain avec son lot de frustrations et d?angoisses, c?est faire un tour de manège infernal.
Plus qu?autre chose ce film fascine. Pourquoi ? C?est très simple, on commence par visualiser un anime (film d?animation)
conventionnel, puis on plonge (on coule parfois) peu à peu dans des hallucinations très éprouvantes. Par la suite on se retrouve avec des enchaînements d'actions très soignés
et surtout assez brefs ; la surenchère du "gore " est supplantée par une ambiance malsaine. De plus, l?atmosphère très sombre est accentuée par des couleurs adéquates qui
renforcent la puissance des décors (tonalité bleu-violet face au rouge vif). Enfin, on assiste à un épilogue endiablé riche en rebondissements où se mêlent, avec subtilité,
horreur et ambiance fantastique. Le " coté " fantastique est imagé grâce aux apparitions fantomatiques de Mima (version idole). La répétition de scènes (les réveils brusques de
Mima) nous font parfois douter de la véracité des scènes, le spectateur peut se perdre dans les méandres de l?histoire (concentrez-vous et respirez doucement, OK ? ! ).Chose
amusante, on pourrait dire une chose comme :

" Voici un anime techniquement impressionnant qui nous prouve que le sexe et la violence ne sont pas indispensables pour
satisfaire le public? blabla?blabla? "

Bah non désolé ! ! Techniquement, on est très loin de l?animation sophistiquée d?un AKIRA ou d?un Ghost In The Shell. Les
saccades sont fréquentes, les mouvements des personnages manquent de fluidité et les visages se limitent parfois à leurs plus
simples expressions (scène de grand public = pas d?yeux et pas de bouches = bof ! !). Pour corser le tout, (et entraver la bonne
conscience de Famille de France) le film s?offre le luxe d?offrir des scènes de nu (Manga = Otaku ? !) ainsi que des meurtres
sanglants très réalistes (vive les Slasher Movie). Sinon, les effets de style sont adroitement constitués. Des changements de
rythme brutaux, des montages astucieux entre les moments de frisson et la musique et des zoom arrières saisissants nous plongent
instantanément dans un climat pesant. La réalisation s?en retrouve rehaussée, surtout quand on voit le travail énorme sur les
décors, bref on oublie vite les quelques défauts pour se focaliser sur l?histoire prenante.

Autre chose encore, ce film tient un discours peu encourageant sur les idoles et leurs fans. En effet, les jeunes filles ne sont
que le jouet éphémère des producteurs et du public, elles doivent entretenir une certaine "image " quitte à masquer leur propre
personnalité.

Perfect Blue est un film super complet, très réaliste dans son contenu et surtout très cru. Il aurait pu être magistralement
porté à l?écran à l?aide de vrais acteurs ! ! Remercions donc le réalisateur, le travail brillant des doubleurs (du grand
art !), et le(s) musicien(s)---- (chants grégoriens + Techno.Indus) pour cette ?uvre adulte et flippante.

Conclusion : Allez voir ce film au cinéma le plus vite possible, il est rare de pouvoir apprécier un anime de qualité sur grand écran.

Alex Kid

161

Si vous êtes un amateur de thrillers , alors cet anime devrait vous plaire . C'est un peu un " Silence des Agneaux " version Japonaise . La
construction de l'histoire est très originale et arrive grâce à des ellipses et flash-back constants à faire perdre la démarcation entre rêve et réalité .
Cela plonge le spectateur dans le même état d'inconfort que celui dans lequel se trouve Mima , et cela rehausse vraiment l'impression qu'a le
spectateur . Ce film passe toujours dans une salle à Paris : au grand Pavois . Je vous encourage à aller le voir au cinéma si vous pouvez , c'est
tellement mieux !


PS de PpHd: Si les pariseins pouvaient dire si ca passe encore...
PS2 de PpHd: Que s'estilp passe apres que Mima se soit fait ecrase par un camion ? A moins que...

162

Le réalisateur nous entraîne dans un thème très actuel dans notre société
d'aujourd'hui : les girls band et leurs fans. En elle la jolie et naïve Mima, elle
leader du group les Cham, on ne peut pas s'empêché de penser à l'effet spice
girl... Bref son agent (une caricature digne des meilleurs dessins animés
nippons) pousse la jeune Mima à changer de carrière en devenant actrice.
Quant à Rum, l'attachée de presse de l'idole des jeunes, elle semble favorable
à la carrière de chanteuse de sa protégé. Dès lors, Mima accepte de changer de
carrière artistique en changeant son image. Elle joue dans un film qui ressemble
à un sitcom et pose nue dans les magazines.
Dès lors, son plus grand fan, Mimaniac invente sur un site internet la vie de
Mima chanteuse. En découvrant ce site, Mima devient paranoaïque. Elle devine
que quelqu'un l'espionne...
Cette histoire montre adoration d'un fan (Mimaniac) prêt à tuer les gens qui
souhaitent déformer l'image de son idole Mima, leader du groupe Cham.

La qualité du graphisme est à saluer. Cependant, ce dessin animé style
"manga" manque de rythme, et les problèmes de synchronisation au niveau des
voix des personnages sont sérieusement visibles à l'écran. A noté qu'il y a des
scènes d'une extrême violence présents dans ce dessin animé. A déconseiller
aux jeunes enfants.

Bertrand

J'ai l'impression qu'il a pas du trop comprendre ce qui se passe.

163

164

Les avis sont assez differents.

La premiere critique est vraiment a jeter.
(quoique, liberte d'expression et d'opinion oblige...)
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

165

As-tu vraiment remarque une animation deplorable ? Moi, je sais, a force de mater les mondes engloutis, mes criteres sont a la basisse. Mais je ne trouve pas l'animation pitoyable. Je trouve au contraire qu'elle est avec l'ambiance, quoi.

166

L'animation est tres correcte. Je n'en demande aps plus.
C'est surtout sa critique sur la realistion qui me fait pleurer...
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

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Moi elle me donne envie de lui taper dessus.

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je pense la meme chose que vous sur la premiere critik ?? ou il a vu ke l'annimation etait pourrie ?? bon ok c pas metropolis ms c qd meme tu bon !!
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169

Il a l'air de preferer le commercial (Mon voisin Totoro, emme si ca a du talent)
Ou alors, il se rallie a la cause commune (JinRoth a ete remarque dans les festivals, et cf ce qu'il dit des otakus et meme du Japon ! qui est un pays de depraves pour lui !!!)
Apres tout, il ne doit pas y avoir au Japon beaucoup plus de otakus qu'ici !
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

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nan je pense pas !!
savais tu que la france et le deuxieme pays consommateur de manga et animé juste derriere le japon ??
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171

Mon voisin Totoro est pas vraiment commercial.
Masi surtout, il est plus carre, plus droit.Bien coupe.

172

Ca veux dire que tu es d'accord avec moi ? (pas plus d'otaku au japon qu'en france ?)

Otaku designe aussi les joueurs de jeu de role (et il y en a beaucoup au Japon et en FRance, mais aussi en italie), les joueurs PC (la, on est peut etre les premiers=
, les joueurs consoles (euh, c'ets serre), les garages kids (Japon loin devant nous), etc.
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

173

Je ne sais pas s'il y en a plus en France ou au Japon. Ca a peu d'interets selon moi.

174

L'essentiel est que la proportion est minime.

1. Le Japon n'est aps un "pays d'otakus", c'ets un pays normal.
2. LEs otakus ne sont pas des animaux, mais des etres humains qui ont des choix personnels non reprehensible car ils ne font pas de mal a la societe. C'est la societe qui leur fait du mal.

Na tongue
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

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dison k'au japon les otaku sont encore plus extrem qu'ici !!
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176

Vas dans la chambre de PpHd.
grin

Oui, c'est vrai, il y apire.
Mais attend qu'on touche un salaire d'ingenieurs !
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

177

errf
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178

On fait une regle de trois :

PpHd :
salaire --- depense
0 --- 1000 fcs/mois
20000 fcs /mois --- 20000*1000/0 = ???

je te laisse calculer grin
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

179

Heureusement que c'est pas une regle de trois...

180

erf
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