Je remonte ce topic, et en plus je suis HS : ma chanson est en français.
Je suis désolé si ça vous gêne, mais je n'ai pas envie de chercher dans tout jrad pour essayer de trouver un topic comme celui-ci mais concernant les chansons françaises. Surtout que je ne sais même pas si ce topic existe.
Donc voici ma chanson, j'écris les paroles par rapport à ce que j'entends, donc c'est possible que je fasse des fautes, dans ce cas, merci de m'en informer, svp.
Qu'est-ce qu'il faut faire ? Mais qu'est-ce qu'il faut faire ?
Mais qu'est-ce qu'on peut faire ? Mais qu'est-ce qu'il faut faire ??
Qu'est-ce qu'il faut faire pour court-circuiter ?
Qu'est-ce qu'il faut faire pour court-circuiter laôô ?
Qu'est-ce qu'il faut faire pour court-circuiter laôô ?
Qu'est-ce qu'il faut faire pour court-circuiter la conspiration qui fait que comme d'habitude je vis au fil des saisons ?
Filin tendu, en vue que mes rêves soient illusions
J'les brûlerais bien pour de bon vos montagnes de millions
Mais bon, y a bien, ma bagnole et mon chien, le biberon du bébé, le baby-sitter qui vient demain,
La bouffe, le loyer, la banque à rembourser, Babylone ma bien aimée c'est pour toi que je vais bosser,
Mais bon, y a bien, cette chose qui est en moi, tu ne peux pas la toucher, y a que moi qui la vois,
Vision virtuelle, venant des vents les plus lointains,
Je suis vivant et en rêvant j'vois la vie comme elle vient,
Le rêve commence... (le rêve commence...)
Le rêve commence... (le rêve commence...)
Le rêve commence... (le rêve commence...)
Le rêve, rêve, rêve, rêve, rêve, ...
Le rêve commence, je vole vite et bien, (boum, boum)
Pas de volant, les virage je négocie bien, bien,
Voilà que maintenant, un voilier me prend,
Et c'est toutes voiles dans le vent que je voyage à présent,
Je n'ai pas vu de violence (tu as eu de la chance)
Je n'ai pas vu de violence (sûrement pas en france)
Je n'ai pas vu de violence (tu as eu de la chance)
Je n'ai pas vu de violence, de voiture de ville,
Et c'est en transe que je poursuis mon exil,
Je vis, je vois, j'oublie les imbéciles,
Et c'est là qu'au loin j'aperçois une île, (Yeahh)
Très vite je m'approche,
Sur l'eau je ricoche,
Et pof, j'aterris devant le sourire d'un mioche,
Dans sa main, un morceau de brioche,
À côté de lui un chien qui renifle ses poches,
Ici tout est bien, quand même mieux qu'au cinoche,
L'air qu'on respire est sain, personne ne roule en porche,
On est chez quelqu'un que je sais apprécier,
Il est dans mes rêves depuis des dizaines d'années,
On est chez mon frère...
Celui qui jamais nous envie,
Celui qui aime la terre, l'eau,
Qui a les enfants pour amis,
Lui, il sait se taire, (il sait se taire)
On écoute ce qu'il dit,
Car jamais jamais, jamais de sa bouche n'apparaît le mépris,
L'humour est son petit frère,
L'amour son ainé,
Son nom représente la terre,
Il s'appelle Yakamoneye, (Yakamoneye !)
Chez Yakamoneye, non non, y a pas de monnaie,
Y a pas de barbelées, non non, pour t'empêcher d'entrer,
Y a pas mal de mouflets, chez Yakamoneye, (un peu de sinse, beaucoup de liberté)
Y a pas de quoi s'inquiéter pour ce qu'on va manger, non non, puisqu'on va planter, non non,
Y a pas de quoi s'inquiéter non non chez Yakamoneye,
Y a pas de monnaie, chez Yakamoneye,
Y a pas mal de mouflets, et c'est bien les mouflets,
Je rêve, oh oui je rêve, je rêve, oh oui je rêve,
Je fais que ça mon frère, tu vois, je rêve, oh oui, je rêve, je rêve,
Je rêve je rêve, je rêve...
Je rêve, oh oui mon frère, et ça vaut tous mes mois d'salaire,
Ma couette c'est le repère où j'mène une vie pépère,
J'libère le monde amer,
Et même si j'y reste fier,
J'aurais du mal à refaire tout ce qui va de travers,
Alors j'traverse les océans,
Pour trouver ce monde d'enfants-fants-fants
En fonçant comme un dément vers ces gens plus cléments
J'y reste quelque temps,
Tant que je peux y rester,
Et quand le réveil sonne j'ai l'énergie pour lutter,
Car j'ai été chez mon frère,
Celui qui jamais nous envie,
Celui qui aime la terre, l'eau,
Qui a les enfants pour amis,
Lui, il sait se taire, (il sait se taire)
On écoute ce qu'il dit,
Car jamais jamais, jamais de sa bouche n'apparaît le mépris,
L'humour est son petit frère,
L'amour son ainé,
Son nom représente la terre,
Il s'appelle Yakamoneye, (Yakamoneye !)
Chez Yakamoneye, non non, y a pas de monnaie,
Y a pas de barbelées, non non, pour t'empêcher d'entrer,
Y a pas mal de mouflets, chez Yakamoneye, (un peu de sinse, beaucoup de liberté)
Y a pas de quoi s'inquiéter pour ce qu'on va manger, non non, puisqu'on va planter, non non,
Y a pas de quoi s'inquiéter non non chez Yakamoneye,
Y a pas de barbelées, chez Yakamoneye,
Y a pas mal de mouflets, et c'est bien les mouflets,
Que faire, que faire, pour court-circuiter ?
Que faire, que faire, pour court-circuiter ?
[...]
Je rêve, oh oui je rêve,
Je rêve, rêve, oh oui je rêve,
Je fais que ça, tu vois je rêve,
Faut rêver, tu vois je rêve,
[..]
Faut rêver, faut rêver, faut rêver, ...
Je rêve, oh oui mon frère, et ça vaut tous mes mois d'salaire,
Ma couette c'est le repère où j'mène une vie pépère,
J'libère le monde amer,
Et même si j'y reste fier,
J'aurais du mal à refaire tout ce qui va de travers,
Alors j'traverse les océans,
Pour trouver ce monde d'enfants-fants-fants
En fonçant comme un dément vers ces gens plus cléments
J'y reste quelque temps,
Tant que je peux y rester,
Et quand le réveil sonne j'ai l'énergie pour lutter,
Car j'ai été chez mon frère,
Celui qui jamais nous envie,
Celui qui aime la terre, l'eau,
Qui a les enfants pour amis,
Lui, il sait se taire, (chut...)
On écoute ce qu'il dit,
Car jamais jamais, jamais de sa bouche n'apparaît le mépris,
L'humour est son petit frère,
L'amour son ainé,
Son nom représente la terre,
Il s'appelle Yakamoneye, (Yakamoneye !)
Chez Yakamoneye, non non, y a pas de monnaie,
Y a pas de barbelées, non non, pour t'empêcher d'entrer,
Y a pas mal de mouflets, chez Yakamoneye, (un peu de sinse, beaucoup de liberté)
Y a pas de monnaie, y a pas de monnaie, y a pas de monnaie...
Tryo, Yakamoneye