1

J'ai une question très bête; c'est la première fois que j'utilise ce type de calculatrice
Lorsque je fais un calcul avec la TI 83 Plus, le résultat défile à l'écran mais bien entendu les premières lignes ne sont plus visibles. Comment dois-je faire pour remonter? J'ai beau cliquer sur la flèche vers le haut ou vers la gauche, rien ne se passe et je n'ai pas vu la réponse dans le manuel.
Merci de votre aide
Christina

2

Il me semble que c'est impossible, une fois le calcul fait, on ne peut pas remonter (du moins si je me souviens bien), donc soit tu as une feuille à coté de toi pour noter les résultats soit tu trouve un calculatrice avec un plus grand écran...

3

[2nd]+[enter] autant de fois que néccéssaire. ça raplle ce que tu a entrer, pour avoir de nouveau le résultat suffit de faire enter..
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard

La République, c’est comme la syphilis : quand on l’a attrapée, soit on se fait sauter le caisson, soit on essaie de vivre avec.

4

Bonjour,
Moi aussi je suis dans le même problème. J'ai créé un programme, mais le souci c'est que je ne peux pas voir les résultats de mon programme s'il est long et comme le programme défile vite les résultats, c'est impossible à voir. Et le [2nd]+[entrer], ne montre que le nom du programme. Si il n'y a aucun moyens de faire ça, cela va être très embêtant.rage

5

hum :

-1 : tous les résultats affichés sont-ils utiles pour toi ?
a)Si non, il ne faut afficher que ce qui est nécessaire et non tous les calculs, et ça ira probablement.
2)Si oui, il faut soit mettre des "pauses" entre chaque page de résultat (l'utilisateur appui sur une touche pour passer à la page suivante), soit enregistrer tes résultats dans une variable appropriée (liste ou matrice par exemple), que tu peux ensuite afficher.

Beau déterrage de topic néamoins !
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard

La République, c’est comme la syphilis : quand on l’a attrapée, soit on se fait sauter le caisson, soit on essaie de vivre avec.