C'est pas moi qui l'ai rajouté en tout cas, j'ai fais un copier/coller de l'article.
Oui si tu trouves quelques chose, mais bon après comment savoir si c'est pas pour décrédibiliser les dire ou pas. Pas évident de savoir.
Nil Le 17/04/2008 à 13:01 (Juste pour dire un truc : la croix renversée n'est pas la croix de Néron, hein ; dans la tradition chrétienne, elle est la croix de Saint Pierre, qui fut crucifié à l'envers à sa propre demande "pour ne pas être confondu avec le Christ"... donc bon, on peut faire dire à peu près tout et n'importe quoi aux symboles);
Nil Le 17/04/2008 à 13:57 Effectivement, je pense qu'à l'époque, c'était plutôt le poisson.
Nil Le 19/04/2008 à 11:49 Baaaaaah je trouve bizarre la réaction de Conscience par rapport à ce clip. On n'a jamais été, depuis la 2nde guerre mondiale, dans une période aussi policée, plate, où l'important est la morale, de ne pas dépasser de la norme, de faire attention à ce qu'on dit, etc. On ne peut pas faire le tiers de ce qui se faisait dans les années 70-80 sans risquer l'opprobre ou le lynchage médiatique. La sexualité, l'érotisation et la potacherie n'ont aucun droit public, ou alors il faut que ça soit dans un cadre très particulier, réglé à l'avance comme une montre suisse. En fait, depuis les années 90, on a le droit de faire tout ce qu'on veut ou presque, pourvu que ça soit tu et caché.
D'accord avec le début, sauf que cette sexualité et érotisation sont partout et font partie du conformisme ambiant. (Ce qui n'empêche pas l'époque de produire à fond de la misère sexuelle, et d'interdire de dépasser les lignes).
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou
Nil Le 19/04/2008 à 11:58 Ben quand on compare nos époque aux années 70, on fait pâle figure, à s'insurger contre une pub pour Sloggi et autres détails révélateurs (disons qu'à vouloir cacher certains problèmes, on les cristallise au lieu de pouvoir leur donner une vraie réponse, et je suis persuadé qu'une partie de la "misère sexuelle" est liée à ça : on peut parler de sexe, mais surtout pas de sexualité).