vince (./22) :
Oui, y'a juste les peignes qui diffèrent, mais la question, c'est surtout de savoir si à terme (après les travaux donc recâblage de l'appart) je garde un ou deux tableaux...
Perso je préfèrerais un seul, quitte à avoir une boite/tableau de dérivation ailleurs. Et ça évite de devoir tirer une ligne en 6²/10².
spectras (./24) :
Parce que dans ma conception du rendement énergétique, le rendement d'un radiateur électrique est toujours de 1.
Quand on dit que ça baisse, c'est qu'en fait un radiateur se met à consommer moins, donc à chauffer moins qu'à l'origine. La confusion vient de là.
Hippopotame (./25) :
Une pompe à chaleur a un rendement supérieur à 1 (enfin si je me souviens bien ça ne s'appelle justement plus un rendement, mais un coefficient de performance, ou COP). 1 Watt électrique consommé = plusieurs watts thermiques pour chauffer.
COP == Coefficient Optimal de Performance. Ca tourne vers les 4.5 pour une machine correcte (1W consommé -> 4.5W de chaleur).
spectras (./26) :
Du coup tous les vendeurs qui te vantent leur radiateur au meilleur rendement que l'autre, c'est bien ce qu'il me semblait, c'est du pipeau ^^
En fait, tout se joue sur l'inertie du radiateur, c'est pour ça qu'on en voit à bain d'huile, à briques réfractaires etc...
Il coûte moins cher de chauffer de manière linéaire que par accoup. Une des causes est l'humidité qui va pénétrer à plus ou moins forte dose dans une maison de par son refroidissement, humidité qu'il va falloir chasser par chauffage au prochain cycle de chauffe. Et c'est ça qui plombe. Donc plus on arrive à fluidifier les cycles de chauffe/repos, moins on va consommer pour garder à température donnée un bâtiment.
C'est pour ça que c'est une mauvaise idée de couper son chauffage la nuit, ou de le passer de 17 à 13 entre 23h et 6h, parce que non seulement il va falloir réélever toutes les masses à leur températures initiales (il n'aurait pas coûté plus cher de les maintenir à température), mais en plus il va falloir chasser l'humidité qui ne se serait pas invitée si on avait gardé une température constante.