J'ai été affligé, atterré dès le début du film . Les quelques rares scènes qui ne m'ont pas laissé froid (peut on dire que mes autres m'ont laissé froid alors qu'elles m'incitaient plutot à quitter la salle le plus tot possible ???) n'utilisent que des acteurs en chair et en os. Le meilleur acteur reste paradoxalement celui de Charlotte Rampling (le docteur Elma machin). Peut on dire de linda hardy qu'elle joue bien alors qu'on entend jamais sa voix ? Nikopol est le plus réussi, la scène dans le métro est sympathique, et me conforte dans mon idée : les images de synthèse pour les personnages ont été la pire idée qui soit. Commetn peut on ressentir de la chaleur, de l'hummanité, la présence d'un véritable acteur dans une forme vaguement humanoide générée par ordinateur

Le monstre rouge dont le nom m'échappe me plait mille fois plus dnas sa version "fake" que dans sa vrae nature (binaire !)...
Coté réalisation, c'est totalement creux. Le seul passage intéressant est celui où Jill visite le musée.
Et que dire du scénario ???? Moi qui pensait que Bilal, à travers ses représentations du futur, cherchait surtout à faire passer un message sur notre présent, voilà qu'il sabote toute allusion politique, laisasnt pour seul petit message : attention, ne jouez pas avec la recherche génétique et la chirurgie.
Si j'avais vu ce film sans avoir lu les livres, et sans connaitre Bilal, j'aurais sous les yeux la pire MERDE cinématographique que j'ai vue dans ma vie.
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.