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Steamboy
Film japonais (2003). Animation. Durée : 2h 06mn.
Date de sortie : 22 Septembre 2004
Avec Kiyoshi Kodama, Manami Konishi, David S. Lee, Anne Suzuki, Katsuo Nakamura
Réalisé par Katsuhiro Ôtomo

En 1851, à l'époque de l'Angleterre victorienne, Ray, un gamin surdoué, réussit à maîtriser une nouvelle invention ultra puissante et dévastatrice et va l'utiliser pour lutter contre les forces du mal, sauver sa famille et Londres de la destruction.

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Je ne vais pas vous faire attendre trop longtemps: je suis decu. Meme si ce film est spectaculaire, il est decevant. Mais commencons par une critique de la forme :
L'animation traditionnelle est de bien faible niveau, surtout au debut : traits grossiers, animation sacadee, peu detaillee. Pas de problemes de perspectives cependant. On est TRES LOIN du niveau d'Akira.
L'animation en 3D est par contre pas mal faite: pas mal d'idees neuves, et elle est en general parfaitement integre au reste. On a droit a de vrai scenes impressionnantes d'integration 2D/3D (et rien que pour ca ca vaut le coup d'aller le voir).
La bande son est plus que correcte, mais manque cruellement de details lui donnant plus de vie : on n'a droit qu'au strict necessaire.
La musique est puissante et tres presente. Un peu etouffante par moment.
Le scenario n'est pas original, et finalement plutot vide et sans grand interet.
Les machines a vapeurs sont bien faites, et tres complexes.
La realisation est honnete sans plus. un peu trop spectaculaire. Je n'ai pas vraiment reconnu Ôtomo...
Personnages avec du charismes. Mais le spectateur ne ressent que peu d'emotions en cours de la projection.

Finalement la premiere heure fait tres deballage technique d'integration 3D, alors que la seconde (la grande scnee finale) mise plus sur l'animation traditionnelle. Et la seconde est largement plus interressante.

Alors oui c'est un film a voir par ses proueusses techniques, mais ce n'est pas un grand film. Juste un film de divertissement qui sera oublie lorsque l'integration 3D sera meilleure.

Ne manquez pas l'histoire racontee par le generique de fin : c'est la suite wink
Finalement je crois que j'ai prefere Wonderfull Days.

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Finalement je crois que j'ai prefere Wonderfull Days.

Moi je préfère "Blade Runner" à "Le Terminal" neutral, et "Dark star" à "Scarry Movie 3".
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

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#kesako#
Rappel: topics/42647-wonderful-days

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bah très franchement j'avais pas trouvé Akira genial (à part visuellement), et bien au dessous de Ghost in the Shell ou Perfect Blue, par exemple.
Innoncence sort en decembre...
the car's on fire and there's no driver at the wheel
and the sewers are all muddied with a thousand lonely suicides
and a dark wind blows

GYBE! Dead Flag Blue

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Date de sortie : 01 Décembre 2004

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L'animation traditionnelle est de bien faible niveau, surtout au debut : traits grossiers, animation sacadee, peu detaillee

Personnellement, j'ai été plutot ravi qu'on bosse encore avec quelques cellulos... Je trouve l'animation très correcte, du niveau moyen d'un film japonais, même si j'admets qu'il y a parfois des discontinuités de fluidité. N'oublions pas que tous les personnages ne sont pas animés par les mêmes animateurs, et ici on pourrait presque les reconnaitre à vue d'oeil (on voit au moins la différence). Les traits sont certes "épais", mais pas du tout grossiers, les personnages ont chacun un profil différent, des traits personnels uniques, et on est ainci capable de les différencier, à la différence des persos d'un Mitsuru Adachi, tous grossiers, eux...(bon, OK, lui, il fait des scénars ^^). L'animation est très bonne dans l'ensemble.
Pas de problemes de perspectives cependant

Dans l'ensemble, les caméras ne sont pas audacieuses, mais efficaces. Peu de plan-plan (mais quand meme un peu, et certains mouvements "plan-plan gnan-gnan" qu'on aurait pu(du) éviter), rien de révolutionnaire mais des scènes d'action bien filmées. Comparez ça à un Disney ou un Pixar, pour voir !
On est TRES LOIN du niveau d'Akira.

Le budget n'est absolument pas comparable, bien que Steamboy ait été super financé. Je crois que RIEN ne devrait être comparé à Akira. Le niveau d'animation de Steam Boy est très correct, et l'argent dépensé n'a pas totalement été perdu (magnifique intégration, superbes décors, précisions géniale des machines).

Pour revenir au budget considérable de Steamboy, je préciserai qu'il a été utilisé essentiellement pour faciliter l'intégration 3D. tout comme dans Mes voisins les Yamada, pour lequel le plus dur aura été d'aboutir à un dessin 'simpliste', ici le plus dur aura été de faire apapraitre les dessins 3D, finalement, "comme s'ils avaient été fait avec des cellulos, mais en 3D" . Une fois les images réalisées, elles ont magnifiquement été "cellulo-isées".
L'animation en 3D est par contre pas mal faite: pas mal d'idees neuves, et elle est en general parfaitement integre au reste. On a droit a de vrai scenes impressionnantes d'integration 2D/3D (et rien que pour ca ca vaut le coup d'aller le voir).


J'airai même plus loin, c'est la première fois que je vois un film mélangeant aussi bien animation traditionnelle, digital, images de synthèse et "SFX" .
La bande son est plus que correcte, mais manque cruellement de details lui donnant plus de vie : on n'a droit qu'au strict necessaire. La musique est puissante et tres presente. Un peu etouffante par moment.

BGM convenue mais efficace. Générique de fin sympatoche. Dans l'ensemble un peu faiblrad quand même, rien d'inoubliable.
Le scenario n'est pas original, et finalement plutot vide et sans grand interet.

pencil
Y'a quand meme le message "qui va bien", histoire que les enfants qui voient ça n'aient pas perdu leur temps.
Les machines a vapeurs sont bien faites, et tres complexes.

Otomo no powa.
La realisation est honnete sans plus. un peu trop spectaculaire. Je n'ai pas vraiment reconnu Ôtomo...

J'y reviens. On ne m'aurait pas dit qu'Otomo reéalisait, je ne l'aurait pas cru. Par contre, on reconnait sa touche sur chaque image, à chaque engrenage se mettant en route, à chaque fois qu'une machine vit là où d'autres l'auraient juste mise en mouvement. On reconnait la 'touch' présente dans Roujin-Z, et dans les Memories .

Personnages avec du charismes. Mais le spectateur ne ressent que peu d'emotions en cours de la projection

J'acquiesce. On perçoit les personnalités de chacun mais aucune osmose ne se crée réellement, et aucun changement n'a lieu durant l'anime.
Alors oui c'est un film a voir par ses proueusses techniques, mais ce n'est pas un grand film. Juste un film de divertissement qui sera oublie lorsque l'integration 3D sera meilleure

Film à voir à mon avis pour en prendre plein les yeux pendant 2 heures, admirer les progrès continus de la 3D dans les animes et passer quelques heures à se demander pourquoi le personnage féminin s'appelle Scarlett O'Hara ...

Mes points forts : magnifiques décors, superbe animation des machines (chez lesquelles on sent parfois plus d'émotion que chez les personnages humains), le retour d'Otomo, quoi !
Mes points faibles : un peu longuet sur la fin, on ne s'attache pas aux personnages, pas vraiment de scénario (et encore une nouvelle source d'énergie inconnue ^^), un peu trop monoythique.

Dans l'ensemble, je ne suis pas d'accord avec PpHd : c'est un très bon film techniquement parlant.


Plusieurs questions :
+ pourquoi Scarlett O'Hara ????!!!!!!
+ z'avez vu les références à Nadia ?
z'avez vu d'autres références ? confus
+ vous connaissez le character designer ? (on dirat celui de l'Autre Monde, en gros)

Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

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Bonjour,

J'ai deux garçons de 5 et 8 ans, ce dessin animé est il adapté ?

Vous remerciant par avance

marvin
marvin

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Conclusion: Otomo devrait se concentrer sur l'animation, la partie graphique, et laisser la real à des gens comme Satoshi Kon?
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Lors de la séance à laquelle nous avons assisté, nous avons pu voir un papa sortir avec son enfant d'environ 6 ans, certainement peu intéressé par le film.
A mon avis, 5 ans c'est peut être trop jeune, car de manière générale l'ambiance du film est lourde et grave. Je dirais qu'il est visible de façon 'politiquement correcte' à partir de 8 ans, environ. Ce n'est pas du tendre et merveilleux qu'on voit, avec une histoired'amour, mais de "l'action-packed" avec des personnages qui ont chacun leur ligne de conduite et leur motivation, bref, comme dans la "vraie vie".

Celà se passe à Manchester puis à Londres en 1965, à une époque de révolution industrielle, de travail des mineurs, d'exploitation des ouvriers pour des salaires médiocres, dans des taches difficiles et meurtrières, sous l'indifférence des supérieurs. Il s'agit de voir un jeune homme mettant la main sur l'invention de son grand-père : une nouvelle source d'énergie assimilable à de la vapeur. Et bien sûr, de gros lobbys veulent s'en emparer pour construire des armes plus efficaces. La seconde partie du film est en fait un long passage confus où les nouvelles armes développées sont mis à l'essai en plein londres. Il y a des morts, mais peu de sang. Londres est quasiment détruite. (fin du spoiler)
Le plus notable, c'est que le réalisateur ne finit pas son film par un message clair et limpide du genre 'faire l'amour pas la guerre', ou 'utilisez le progrès pour le bonheur des autres'. C'est au contraire suggéré, tout au plus en filigrane du film.
Pas d'histoire d'amour, pas de bon ou de méchant, pas de 'parcours initiatique' du personnage central pour devenir bon, pas de 'héroisation' de ce personnage central, pas de justice qui triomphe avec aucun innocent qui meurt.


Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

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Kelso > la réalisation dans l'ensemble est correcte, mais très inégale. Il y a des plans de rotation et de zoom géniaux, un peu comme ce que ferais un David Fincher, mais il y a aussi des scènes dépourvues d'intéret autre que de faire apparaitre de nouveaux personnages, faire avancer le propos ou intercaler un petit passage qui fait sourire (ils sont rares).
Je suis mitigé. Il y a de très bons points et des plus banals. Que doit on à qui ? Quel a été le rôle d'Otomo dans l'histoire ? Sur ce projet de 10 ans, il apparait davantage comme un maitre d'oeuvre, réunissant des talents, que comme quelqu'un prenant la caméra, bref, il apparait comme un réalisateur au sens de 'directeur', celui qui choisit les couleurs, les costumes de ses personnages, repasse sur les dialogues, assure une part de la production exécutive, et décide de la marque de café que boit l'équipe. Une sorte d'intendant qui met sa touche sur chaque partie de l'animation. Au final, on croirait voir un film dirigé par un inconnu avec Kastuhiro Otomo en directeur de l'animation. Je ne sais pas si le film aurait été mieux ou moins bien avec Satoshi Kon en réalisateur (je subodore que oui, ca reste une supposition).
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

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Bonjour,

Merci Beaucoup Smeet

marvin
marvin

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>Je trouve l'animation très correcte, du niveau moyen d'un film japonais, même si j'admets qu'il y a parfois des discontinuités de fluidité.
"Niveau moyen" oui la je suis d'accord. grin => ce qui veut dire pas genial.

>Le budget n'est absolument pas comparable
Oui Budget SteamBoy >> Budget D'Akira smile

>J'airai même plus loin, c'est la première fois que je vois un film mélangeant aussi bien animation traditionnelle, digital, images de synthèse et "SFX" .
Je suis totalement d'accord.

>Dans l'ensemble, je ne suis pas d'accord avec PpHd : c'est un très bon film techniquement parlant.
confus Ta critique detaillee me donne pourtant l'impression que tu es plutot d'accord avec mon avis.

>J'ai deux garçons de 5 et 8 ans, ce dessin animé est il adapté ?
Non. Plutot a partir de 10 ans. Mais ils ne seront pas choques pour autant je pense.

./10: Oue d'accord.

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PpHd >> je suis d'accord individuellement sur pas mal de points, à quelques subtilités près. Mais tu sembles dire que ce film n'a rien d'exceptionnel. Personnellement, je le trouve visuellement pas mal réussi du tout. Bref, "-Je suis d'accord. - Moi non plus."
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

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L'animation en 3D est par contre pas mal faite: pas mal d'idees neuves, et elle est en general parfaitement integre au reste. On a droit a de vrai scenes impressionnantes d'integration 2D/3D (et rien que pour ca ca vaut le coup d'aller le voir).

smile

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smeet :
Kelso > la réalisation dans l'ensemble est correcte, mais très inégale. Il y a des plans de rotation et de zoom géniaux, un peu comme ce que ferais un David Fincher, mais il y a aussi des scènes dépourvues d'intéret autre que de faire apparaitre de nouveaux personnages, faire avancer le propos ou intercaler un petit passage qui fait sourire (ils sont rares).
Je suis mitigé. Il y a de très bons points et des plus banals. Que doit on à qui ? Quel a été le rôle d'Otomo dans l'histoire ? Sur ce projet de 10 ans, il apparait davantage comme un maitre d'oeuvre, réunissant des talents, que comme quelqu'un prenant la caméra, bref, il apparait comme un réalisateur au sens de 'directeur', celui qui choisit les couleurs, les costumes de ses personnages, repasse sur les dialogues, assure une part de la production exécutive, et décide de la marque de café que boit l'équipe. Une sorte d'intendant qui met sa touche sur chaque partie de l'animation. Au final, on croirait voir un film dirigé par un inconnu avec Kastuhiro Otomo en directeur de l'animation. Je ne sais pas si le film aurait été mieux ou moins bien avec Satoshi Kon en réalisateur (je subodore que oui, ca reste une supposition).


Un petit détail que vous semblez oublier c'est qu' Otomo n'a pas tout à fait réaliser le film qui souhaiter. Le projet a duré assez longtemps, justement parce qu'il y avait conflit entre le réalisateur et les producteurs. Otomo voulait un film plus noir/grave apparement avec surement un fin moins "Happy End", mais les producteurs voulaient touchés le plus grand nombre (donc les enfants à partir de 7 ans on va dire) et ça débouchait sur cette fin pas mal, mais il est vrai pas très heureuse.
Malgré tout ça reste un très bon film pour moi. Par contre le comparer à Wonderful Days c'est abusé... sick
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>Par contre le comparer à Wonderful Days c'est abusé...
Oue. Wonderful Days etait bien plus profond. Il meritait pas ca. sad

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Mais ça n'a RIEN à voir !!!!!
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
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Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

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Le fond ou la forme ?

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PpHd :
>Par contre le comparer à Wonderful Days c'est abusé...
Oue. Wonderful Days etait bien plus profond. Il meritait pas ca. sad

lol
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rhaaa comment peut on oser dire qu'on prefere wonderfull days, qui est une daube honteuse tellement le réalisateur ne savait pas faire un film ! C'est mou, mal rythmé, l'histoire est naze, c'est mal monté, c'est incohérent... bref le faitr que ca soit zoli ne justifie pas une seule seconde de te faire chier pendant 1h30.... c'est l'effet final fantasy, beau mais tellement con !!!

Pour steam boy, perso j'ai été un peu décu, mais bon je penses que c'etait parceque j'en attendait beaucoup trop d"otomo... j'ai trouvé qu'il n'allait pas asserz loin avec ses personnages, (souvent extreme chez Otomo), et que la 2 eme partie manquait vraiment de rythme, et que c'etait meme un peu repetitif.... Mais bon au debut quand le héro n'enerve a coup de clef a mollette... KANEDA POWAH...

En tout cas on retrouve bien les marques du réalisateur de metropolis, le style se reconnait tout de suite et fait toujours autant plaisir tant c'est original dans le monde de l'animation. Cependant, cette ressemblance est aussi la faibnlesse de ce film, car il n'est helas pas aussi bon que metropolis, donc forcement decevant ! La scene de desztruction de la fin est trop longue, trop chiante et trop dénuée de sens face au final magistral sur une musique jazzy de metropolis...

Bref décu parceque j'en attendait trop, mais trés bon film quand meme !

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>En tout cas on retrouve bien les marques du réalisateur de metropolis,
lol T'en a d'autre des trucs dans ce genre laught

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hum2grin
Les droits inaliénables du troll :
1) le droit d'avoir raison
2) le droit d'être péremptoire
3) le droit de ne pas lire
4) le droit de ne pas répondre
5) le droit d'être de mauvaise foi
6) Autant pour moi / Faignant / Vivent Tintin et Milou

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rotfl
Ah ouais grin
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.

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bah koa ? IL l'a realisé avec rin taro... Vous pensez que c'est ce cadavre de tezuka qui l'a réalisé ? Apres si vous etes pas capable de voir les nombreux plans similaire, comme les travelling arriere qui commencent sur une personne et finissent sur un plan large c'est pas ma faute...

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laught

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c'est comme dire que c'est pas copolla qui a réalisé sleepy hollow.... il faut etre aveugle....

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rotfl

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chapo
Oui, c'est évident. Il faudrait être aveugle pour prétendre le contraire, voyons embarrassed
Cinq font un et un font cinq : le tout est UNITE.
C'est dans l'incompréhension que je suscite que je trouve ma raison d'être.
Je suis moi, et je le suis parce que les autres ne le sont pas, et que ce sont eux qui forment ma personne.
Inconscience et déraison sont source d'imagination.
Au delà de ma conscience et de mon inconscient, mes rêves créent la réalité.