Bonjour à tous!
Janvier s'en vient avec son nouveau lot de dissertations, toujours plus réjouissantes...
"Jean-Paul Sartre dans Situations II évoque l'engagement de l'écrivain: 'Pour nous, en effet, l'écrivain n'est ni Vestale, ni Ariel: il est 'dans le coup', quoi qu'il fasse, marqué, compromis, jusque dans sa plus lointaine retraite.' Que pensez-vous de cette affirmation?"
Pour ma part, je serais plutôt favorable à Sartre, "l'art pour l'art" ( comme chez les parnassiens ) n'ayant pour moi aucun but réel; l'écriture est représentative, toujours, du tempérament, des opinions et de la position de son auteur, puisqu'elle touche, de près ou de loin, à la société, et donc à la politique. Il me faudrait un peu d'aide pour structurer tout ça, parce que j'ai un peu de mal... Merci d'avance!
Cam