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Salut à tous !
Voilà je viens d'acquérir ma première calculatrice graphique, et je commence à m'initiuer à la création de programmes. Mais ça bug !

Alors je voudrais que la calc demande le nom de l'utilisateur. Disons que je m'appelle 123 ^^ (c'est tout nouveau j'ai vu un bébé avec ce nom ^^). Après, si j'ai bien entré 123, que cela me mette Acces autorisé, que sinon, Bye.

Alors voici ce que j'ai fait :

PROGRAM:NOM
:Prompt N
:If (N)IS>(123)
:Then
: Disp "ACCES AUTORISE"
:Else
: Disp "Bye"


Voilà, je ne vois pas ce qu'il ne va pas, hormis que le fait vient peut-être que Then et Disp "ACCES AUTORISE" ne sont pas sur la même ligne... Mais sinon j'essaye quand ils sont collés, mais toujorus ERROR syntaxe...

Merci d'avance !

Rominou59 (dit 123)

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Pas la peine de poster dans deux endroits différents...
Ah ah ! Sacré Gödel, il avait l'idée de vouloir mettre au chômage tous les mathématiciens ce fourbe !

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Dsl l'autre forum je l'avais trouvé directement sur google, j'ai posté, mais je ne peux pas l'effacer ...

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Salut

Je comprend pas ta ligne If (N)IS>(123).
Pourquoi pas mettre If N=123 ect... ?
De plus, on écrit :IS>(variable,valeur) (a moin que ca ai charger avec le TI82 stat.
De plus, il faut que tu protège ton programme parceque sinon n'importe qui peu éditer ton prog...

@+

F-MATH

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wao , faut pas croire non plus que l'on fait de super programme en basic sur ti... donc la protection je vois pas trop l'interêt. pour ta question à tu mis de End pour terminer la condition.

et le IS je connaissai pas avant , mais un " IF N>123 " devrait suffir non? enfin je programe plus en basic donc je me rappelle plus trop c'est quoi les syntaxes.

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la protection je vois pas trop l'interê

A part se "protéger" d'un prof, je ne vois pas trop l'intéret non plus.
( celui qui veutr le code du rpogramme retitre la protection simplement à partir de ti-Graph Link ou même depuis un éditeur héxa on-calc...)
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard

La République, c’est comme la syphilis : quand on l’a attrapée, soit on se fait sauter le caisson, soit on essaie de vivre avec.