very (./131) :
Nil (./21) :
c'est pas parce qu'ils ont la peau mate qu'ils sont d'origine arabe (les ibériques ont souvent le teint hâlé, les cheveux crépus et la verve haute)
Ouais enfin bon faut pas déconner non plus, moi qui passe 1 mois par an es Espagne je peux distinguer dans la plupart des cas en 1/10ém de seconde entre un ibérique et un arabe. Pas les mêmes traits du tout.
Pour certains ibériques, je te l'accorde ; mais ça reste vrai pour une partie (en particulier, les gitans ayant passé beaucoup de temps en espagne ou dans le sud de France), ainsi que pour d'autres communautés. J'ai un ami polonais (si, si

) que tout le monde a toujours pris pour un arabe - bon, c'est une exception

very (./131) :
Nil (./123) :
En même temps, je suis d'accord pour dire que croire est quelque chose qui paraît aberrant, mais d'une autre part, ne pas croire a aussi son côté aberrant (enfin, je veux dire... dans le sens "veryien" du terme... cet espèce de désespoir latent est fondamentalement opposé à ma vision de la vie, et je n'arrive pas à le concevoir).
Pourtant tu sais le désespoir radical et l'espoir absolu, mystique, sot deux sentiments, deux ressentis, très très proches. Tous deux d'ailleurs étrangers aux petits fonctionnaires de la croyance...
Hum, au contraire, le "désespoir radical" est bien connu des chrétiens. Il est d'ailleurs présent en filigrane dans tout le récit de la Passion.