Les jeux vidéo d'une ancienne console qui ne fonctionnaient qu'avec des ordinateurs de l'époque (environnement MS-DOS) deviendront compatibles avec par exemple des périphériques graphiques, carte son et écran fonctionnant sous Windows XP
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Il date de quand, cet article ?

Si Nintendo dispose du droit de modifier ses propres logiciels, il n'en va pas de même du développeur qui sans aucun droit sur le jeu vidéo ou logiciel présent à l'intérieur de la console créé un programme permettant de simuler les composants du logiciel d'une console. En effet, modifier le BIOS d'un logiciel constitue un acte de contrefaçon aux droits d'auteur portant sur ce logiciel.
Confus et hors-sujet : on n'a pas besoin de modifier le "BIOS", ni même forcément d'en avoir un, pour faire de l'émulation. C'est bien pour ça que la majorité des émulateurs sont légaux.
Il en résulte donc que les développeurs d'émulateurs ne pourront pas en cas de contentieux, invoquer devant le juge le décès de l'auteur ou l'abandon par une société éditrice de ses droits sur le logiciel reproduit.
Encore hors-sujet : distribuer les ROMs et écrire un émulateur sont deux choses différentes. Et la grande majorité des auteurs d'émulateurs ne distribuent pas de ROMs, justement.
La cour d'appel de Paris a rappelé que les développeurs de linkers, dispositifs permettant de lire des jeux vidéo piratés sur la console DS de Nintendo, étaient responsables d'actes de contrefaçon au motif pris qu'ils n'étaient pas des utilisateurs légitimes (Paris, 26/09/2011 affaires Nintendo).
Et hop, on passe sous silence tous les jugements qui ont tranché en sens contraire.
L'article est partial et mauvais. Mais bon, la source est pas vraiment neutre non plus
