de toute facon l'écriture a la con est aussi sexiste, car elle néglige ceux qui se sentent animaux comme les furries, les sergals, ceux qui sont entre les deux, ni l'un ni l'autre, ceux qui ont 3 chromosomes X ou Y, etc.
Tron Le 23/11/2016 à 20:55 Déjà, étudiant au féminin, faut pas pousser non plus.
Et pourquoi pas le droit de vote et l'égalité des sexes aussi pendant qu'on y est.
Allez hop, une burka et tu vas me rouler des tortillas, et fissa sinon tu verra...
on devrait utiliser des regex
codeu[r|se]{s}?
préfet{te}?{s}?
étudibranleu[r|se]{s}?
Pen^2 Le 23/11/2016 à 21:05Edité par Pen^2 le 23/11/2016 à 21:06 codeu(?:r|se)s? plutôt, non ?
Tron Le 23/11/2016 à 21:06 Ou comme en anglais, juste l'adjectif qui change : he/she/it
l'autitude n'a pas de sexe
OBO Le 23/11/2016 à 21:58 Et pour les asexual gender neutral, hein ?
"autrice" est la forme féminine naturelle, "auteure" est un barbarisme. (À la limite, je verrais "auteuse", mais pas "auteure", je ne comprends pas d'où vient cette forme.)
de l'imagination des feminazi
Nil Le 23/11/2016 à 23:13 La règle actuelle pour avoir les deux genres dans un mot en français - c'est plus un usage qu'une règle, d'ailleurs - est l'utilisation d'un point plutôt que tu tiret, de la parenthèse ou de la barre oblique, qui sont perçues par les féministes - mais aussi les a-genres et les queers - comme hiérarchisantes. On va donc se retrouver avec non pas un/e musicien/ne, mais un.e musicien.ne (qui est d'ailleurs à mon avis plus facile à lire).
On retrouve aussi des néologismes pour avoir un genre neutre (ou, plutôt mixte), comme iel à la place de il ou elle.
Voilà, c'étaient mes deux eurocents dans le débat, bonne fin de soirée !
Y'a aussi (surtout ?) que c'est pas le sujet ici.
Les évolutions de la langue peuvent faire (on déjà fait ?) l'objet d'un topic dédié dans la section littérature par exemple.
(dernier avertissement, le sujet ici ce sont les élections présidentielles françaises de 2017)