le violence du choque est impréssionnante
Il a fait quoi pour la casser autant????
Rougne un jour, rougne toujours.
Rentré un soir d'un séminaire, il ne lui reste que quelque kilomètres pour arriver au domicile. Un coup de pompe et il s'endort. "Je me suis réveillé au premier choc (un arbre) et ai essayé de reprendre le contrôle mais plus rien ne répondait (normal tout l'avant explosé) ensuite le deuxième arbre et voiture immobilisée, ai tenté de m'extraire quand j'ai senti les gouttes de carburant sur mon visage mais douleur atroce (rotule du bras en compote et pied coincé lon en dessous du siège) et dû attendre les secours" . Il s'en sort après des mois de rééducation pas trop mal.
Le choc s'est probablement passé à 100km/h ...Chapeau la BX et mettez vos ceintures !!!!
Le sommeil c'est vraiment terrible, a part s'arrêter pour se reposer ou essayer de se réveiller... Heureusement qu'il ne s'en sort pas trop mal...
Rougne un jour, rougne toujours.
me suis endormi aussi dans mes débuts, par inexperience (j'avais 2 mois de permis à l'époque)
avec ma 205 sur autoroute de nuit en rentrant d'un déménagement Paris-Tours (4 aller- retours dans la même journée + la manut', un truc d'inconscient...)
J'ai eu bcp de bol, car je rentrais sur paris sur la file de gauche del'autoroute pied au plancher (150-160 km/h avec la 205 GL). j'ai du dériver un moment, puis j'ai été reveillé par les bandes rugueuses de la bande d'arret d'urgence sur les pneus... complètement à droite !
J'ai eu un pot monstre qu'il n'y ai eu personne, car une pauvre 205 tapant à cette vitesse je serais mort.
Depuis ce jour ça ne m'est plus jamais arrivé, et pour cause, rien ne vaut une exerience de ce genre !
Pour rester en vie, j'ai 2 recettes :
- au premier signe (yeux qui piquent, pensées qui derivent un peu dans des rèves, legers changements de cap incontrolés...) c'est arret direct ! même s'il ne reste que 20 bornes.
- pour les longs trajets de + 500 bornes, comme j'aime pas rouler avec des connards je roule de nuit. Le danger en nuit : on a tendance à s'endormir sur la fin du trajet.
Ma recette : se coucher très tot, et décoller à 2 h du mat. Du coup le coup de barre de fin de trajet arrive en même temps que le jour se lève, ce qui a pour effet de passer automatiquement le cerveau en phase de reveil...
c'est ce que j'ai trouvé de mieux, mais ça n'engage que moi... à chacun d'adapter selon ses preferences bien sûr...