PoissonPilote (./13427) :
J'ai grandi aux US, je parle couramment l'anglais et le français, et je ne pense pas qu'une personne "monolingue" pourrait saisir l'intégtralité de ma personnalité, culture, etc., et que ça ne marcherait pas sur le long terme. (la chinoise parlait anglais)
Brunni (./13434) :
Mwé. Et je suis le seul à trouver ça terriblement prétentieux?
Je trouve ça aussi très dommage, de fermer la porte comme ça sur des critères pas terribles de ressemblance... Bon après je comprends un peu, il a l'impression que certaines choses qui relèvent de sa personnalité, de son histoire, etc, ne peuvent se sentir et ressentir que si on a soi-même un peu eu cette histoire de double-culture.
Néanmoins j'ai des réserves sur cette façon de "fermer la porte" définitivement sur un critère établi (après bon ça peut être juste une simple constatation a postériori, il se fait que ceux avec qui ils s'entend sont comme ça... )
J'ai encore plus de réserves sur ta vision de l'amour comme fusion de deux être (assez) semblables qui se comprennent sur tout, qui
fusionnent. Enfin c'est une question de dosage..
Folco (./13437) :
Ca semble évident, mais au non du brassage culturel très à la mode, tu n'es pas censé trouver le moindre problème à mélanger tout ce qui est différent sans tenir compte le moins du monde de la culture, des moeurs, des habitudes et des coutumes. C'est politiquement incorrect de remettre ce dogme en cause.
Moui mais là c'est une "méta-culture" (celle du brassage de deux cultures, de ce que l'on ressent avec ça... plus qu'une culture, puisque la chinoise par exemple, sur bien des trucs elle devait être plus différente que lui qu'une française... ), donc bon...
«Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter.» - Sören Kierkegaard
La République, c’est comme la syphilis : quand on l’a attrapée, soit on se fait sauter le caisson, soit on essaie de vivre avec.