Salut à tous! Et pardonner mon audace, mais bien que je ne suis pas moi même l'auteur, j'ai tellement accroché sur le style de ce nouvel auteur que j'ai décidé de faire partie de ses tout premiers fane car je suis certaine qu'elle va faire un malheur: pour vous résumer les choses c'est l'histoires de six ados un peu dingos qui se déteste cordialement, qui ont une manière de dialogué un peu crue, et qui pourtant sont liées aux même destin, combattre les forces du mal si ils veulent survivrent! Y'a beaucoup d'humour, de cynisme, et de fantastique: pour vous donner un meilleur apperçut je vous envois un extrait! DES CHEVALIERS DU TEMPS PAR L'AUTEUR HELENE-CELINE AUX EDITIONS AMALTHEE!
CA COMMENCE COMME CA:
Ils faisait obscur, des ombres jonchaient le sol et les murs. Où pouvait bien mener ce long tunel? LLa torche entre les mains, elle s'avança; d'ailleurs, doù provenait cette torche et comment s'était-elle trouvée là elle n'aurait pu le dire. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle n'arrivait pas à empêcher ses jambes d'avancer. il fallait qu'elle suive ce chemin, qu'elle atteigne son but, car elle le sentait: il s'agissait de sa propre survie. Ce qu'elle avait du mal à expliquer c'étaitd'où lui venait ce courage de ne pas se sauver. Elle, d'ordinaire si craintive, se remémorait la fois où son frère Willy lui avait jeté à la figure une énorme araignée en plastique alors qu'ils regardaient un filmd'épouvante.Comme elle l'avait hurlé ce soir-là! Ses pensées furent interrompues par des chuchottements, elle se rapprocha un peu plus et fut pétrifiée devant ce spectacle. Une femme toute habillée de noir récitait des incantations devant un orifice d'où jaillissaient de gigantesques flammes et s'exclama :"Le mal est venue pour toi, le méprisant, de te réveiller, ton âme peut renaître des flammes et recréer les tourments, refais vivre le mal et donne nous ta puissance fatale, afin de détruire le monde du commun des mortels!" Puis elle se mit à parler en une longue totalement inconnue de tout être de la planète. Elle sentit les ténèbres tout autour d'elle, des forces maléfiques se formaient et s'agitaient; Elle se demandait qui pouvait être cette femme aux yeux avides de cruautés et aux cheveux roux. Pourquoi avait-elle l'air si diabolique? Etais-ce un cauchemar, Ceci semblait trop dément pour être réel! Soudainement, elle sentit son regard se poser sur elle, elle ne voulait plus regarder, elle n'avait qu'une hâte: s'en aller; mais ses jambes refusaient de lui obéir; n'ayant plus le choix, elle se força à affronter cette sorcière! Celle-cie ne bougea pas pendant une minute, la jaugeant d'un air critique. Puis elle vit sa bouche s'élargir en un large sourir cynique. De ses deux mains, elle mit sur sa tête la capuche que la plupart des moines antiques portaient, puis elle les éleva en haut vers le ciel, en murmurant toujours des paroles inintelligibles, mais qui auraient fait se dresser les cheveux sur la tête de n'importe qui. Alors elle éleva également les yeux et fut effrayée par cette vision: des centaines de corps, peut être même des milliers, elle n'aurait su le dire, y était suspendus, leurs visages étaient remplis de terreur, on sentaient qu'ils avaient souffert. Mais curieusement, elle s'en moquait car son attention était rivée sur son propre corps ou du moins ce qu'il en restait. En effet, en se regardant, elle faillit s'évanouir; ses bras lui avaient été arrachés, son cou était entaillé, un liquide jaunâtre, qui était mélangé à son sang, s'en échappait. Sa langue pendait, des mites lui recouvraient tout le corps. Elle cria, hurla, mais elle ne voyait que le corps de ses cinques jeunes gens qui étaient dans le même état qu'elle, si ce n'est pire, ils criaient, eux aussi à l'agonie. Et pour courronner le tout, le rire méprisant de Dalamia!
Chéryl-leen se réveilla en sursaut,couverte de sueur froide. Son coeur battait la chamade. Elle massa de la paume de sa main sa poitrine afin de se calmer et pensa : "Ce n'était qu'un cauchemar! Juste un cauchemar, tu dois te calmer; après tout, tu n'en est pas à ton premier! Alors respire, ma grande!" Elle prit une grande inspiration, comme si ce simple geste pouvait l'aider à se ressaisir. Des yeux, elle inspecta sa chambre dans la pénombre; le réveil indiquait quatre heure moins cinq du matin. Le petit ourson qui la fixait des ses gros yeux marron, posé sur son bureau, lui fit pour une quelconque raison froid dans le dos, elle lui tira la langue et lui jeta sa pantouffle rose au visage, ce qui le fit tomber par terre. Ah ! voilà qui était mieux, à présent, elle pouvait retourner dormir et essayer de faire de beau rêves. Car les cernes pour une première rentrée des classes, dans une nouvelle ville, c'était surement pas le top pour se trouver un petit ami. Poussant un soupir, elle rejeta ses couvertures hors du lit...Trop tard, elle préférait être Miss cernes plutôt que de mourir en plein sommeil !
