Premières conclusions :
Dr. Anthony Choy (chercheur indépendant et membre fondateur de la
OIFAA (Oficina de Investigación de Fenómenos Aéreos Anómalos) donne son analyse de la situation :
1. D’après la vidéo, d’une durée totale de 30 minutes, et les déclarations des témoins, 30 à 50 phénomènes aériens semblables à des sphères de couleur blanches de nature inconnue très proches les unes des autres ont été observés pendant environ deux heures et demie en train de flotter sans aucun bruit à une altitude approximative de 2000 mètres. Elles ont été observées depuis différents points de la capitale.
2. Selon la loi, la
DGAC (Direction Générale d’Aviation Civile) est l’organisme chargé des autorisations de survol de l’espace aérien de Lima par des aéronefs publicitaires, scientifiques ou autres. Or, selon la vidéo ces ces objets ne montraient aucune publicité et aucun organisme scientifique ne s’est manifesté au sujet de ces apparitions pour le moment.
3.
La COPRAC (Corporación Peruana de Aeropuertos y Aviación Comercial) n’a pas encore annoncé si les radars de l’aéroport international Jorge Chàvez ont pu identifier les phénomènes anormaux. En tout cas la zone de l’observation est dans le périmètre couvert par le radar.
4. L’hypothèse aéronautique est écartée, puisque cette zone urbaine n’est pas une route aérienne et d’après la vidéo les phénomènes observés ne ressemblent pas aux appareils aériens connus (avion, hélicoptère, dirigeable, appareils radiocommandés, ultralégers ou semblables)
5. La possibilité qu’il s’agisse de sondes scientifiques entrainées par le vent est également écartée, du au fait que les sphères ont été observées immobiles pendant environ deux heures et demie, malgré le vent, avant de se déplacer et de disparaitre.
6. La thèse des engins militaires d’espionnage serait aussi écartée puisque leur nature impliquerait le fait d’être furtifs dans la mesure du possible, afin d’être difficiles à repérer. Or la myriade d’objets a été observée pendant plus de deux heures depuis différents secteurs de la capitale.
7. On écarte aussi les hypothèses météorologiques (aucun cause météorologique n’est associée au phénomène), phénomènes atmosphériques (rayons circulaires, plasma glolbulaires, totalement différents de ce qui est visible sur la vidéo), les feux d’artifices (nous rappellon la durée de l’évènement et l’immobilité observée pendant une demi heure par les caméras et plus de deux heures selon nos sources), les oiseaux en vol ou semblables.
8. Une campagne psychosociale? En ce moment, il n’y a pas de problème d’ordre politique, social ou économique assez grave pour justifier la création d’une campagne de distraction psychosociale aussi élaborée. En ce moment, les évènments présents sur l’agenda des discussions publiques concernent le marché en gros de San Anita, les discussions parlementaires sur la création d’une chambre de sénateurs et le renoncement du ministre de l’agriculture au sujet de l’affaire de la signature d’actes avec les paysans “cocaleros”. D’autre part, cette supposée campagne psychosociale serait mise en oeuvre dans le contexte de la réorganisation de nos services de renseignement. Les conflits politiques cités précédemment sont sensibles mais ne font pas partie d’un processus de déterioration ou d’interactions entre le politique et le social attribuables à une campagne psychosociale. La question judicieuse serait, existe-t-il actuellement une technologie capable de projeter des images de nature holographique dans le ciel ? Et la réponse nous ne l’avons simplement pas, car la source actuelle d’informations sur ce sujet est discutable. Pour le moment cela reste une hypothèse. Projeter des images holographiques dans le ciel ? Une expérience de controle social ?
http://analuisacid1.netfirms.com/flotilla_peru.htm