./537> Ah mais nan! C'est immonde.
Le haut de la page est ok, mais ne scrollez pas pour regarder les photos. A moins de vouloir voir des lapins écrabouillés au talon aiguille.
Arvi89 (./537) :Euuuh je ne comprends pas, c'est une pub pour leur site ou quoi ? Ils donnent toutes les infos pour y aller, les contacter et tutti quanti...
http://www.chinahush.com/2010/11/22/uncover-secrets-behind-the-rabbit-killing-girl/ horrible
The goal of making these sick videos is to make profit; they make the videos into DVD discs and sell them to foreign countries.
Meowcate (./544) :
L'article sur les human-flesh search engines est intéressant au passage, semblant plus efficaces mais aussi aux conséquences plus dures que la version /b/
Kochise (./546) :Oh yeah!
Qu'elles essayent donc avec un pitbull en pleine possession de ses moyens, qu'on se marre un coup.
Kochise (./546) :Il y a plusieurs justifications à ce geste... il y a la violence gratuite (des groupes ont fait leur nom là-dessus), mais il y a aussi des justifications qu'on peut qualifier de plus compréhensibles... en particulier, celle de dire que cet instrument a tout donné et que le mieux qu'on puisse faire pour lui est un autodafé. Après, on trouve ça con ou pas, mais je ne sais pas si les facteurs qui réalisent les instruments sont désespérés ou touchés par ça (je connais des facteurs qui n'hésitent pas à détruire eux-mêmes certaines réalisations tout à fait honorables parce qu'ils estiment qu'elle n'est pas assez bonne).
N’empêche, ils l'ont bien mérité : j'avais déjà trouvé ça nul quand des muzicos foutaient en l'air la scène après un concert (guitares, baffles, etc...) pour une soit disant conception artistique de la dégradation (haine vs. société ?) alors que bordel, des gens se sont fait chier à les fabriquer (surtout les guitares) ou que d'autres voudraient bien les avoir pour faire de la musique.
Nil (./548) :
en particulier, celle de dire que cet instrument a tout donné et que le mieux qu'on puisse faire pour lui est un autodafé
squalyl (./545) :
rappelle toi ton post de blog autocensuré, toi
Le tribunal de Metz a condamné mercredi à un an de prison avec sursis un employé municipal qui avait placé un caméscope dans les toilettes de la mairie pour filmer ses collègues féminines
En revanche, il n’a pas été poursuivi pour deux autres accusations: éjaculer dans les tasses et les gilets de ses collègues et frotter leurs lunettes contre ses testicules.
Après le dépôt de la plainte, une perquisition a été menée au domicile du fonctionnaire indélicat, où plusieurs dossiers ont été découverts sur ses disques durs. Un dossier «Mes salopes» a été découvert, qui contenait d’autres fichiers sous les noms évocateurs tels que «le joli derche de… », «une salope inconnue», «ça doit sentir bon»…