Je passe pas souvent par là, mais pour le mec de Wenzhou qui paye tout pour sa copine (mariage, voiture...) il n'aurait jamais dû accepter. Mais il y a effectivement des familles un peu vieux jeux où c'est le mari qui doit tout payer (normalement, le mari doit acheter un appartement ou une maison aussi, le délire), et c'est la femme qui gère les sous à la maison après (il y a même une série à propos de ça, où on voit comment les maris se débrouillent pour ne pas donner l'argent aux femmes et en garder un peu pour eux...). Bref, les femmes en Chine sont un peu des dragons (du coup les mecs à côté vont aux "massages"), heureusement ma copine n'est pas comme ça, je n'aurais pas pu sinon ^^
En plus ça se fait de moins en moins ces truc ou le mari paye tout, et le mariage avec ma copine par exemple c'est sa famille qui va tout payer (en même temps ils invitent 200 personnes, moi 15 ^^), mais on paiera tout quand on fera un truc en France.
D'ailleurs les parents de ma copine ne vont pas me demander d'argent, alors qu'ils veulent lui en donner à elle, là plus on en a mieux c'est.
C'est pour ça qu'ils ont invité autant de monde au mariage, car quand tu vas à un mariage en Chine (mais j'ai vu ça aussi à Séoul) tu donnes une enveloppe de billets, donc tu gagnes de l'argent.
C'est ça, là ça va être retour sur investissement ^^
C'est juste triste, mais c'est vrai (pas vu la dernière vidéo). Mais ça me paraît aussi inévitable. Ceci dit de nos jour pour les "otaku", je sais pas au Japon mais genre aux USA y a assez de filles qui sont là dedans, et ça vient de plus en plus, résultat ils se retrouvent un peu, notamment grâce au cosplay.
Pas encore regardé la vidéo, mais si par "cafés-câlins" tu parles des maids cafés (et autres trucs assimilés), c'est quelque chose de bien réel.
—
Zeroblog —
« Tout homme porte sur l'épaule gauche un singe et, sur l'épaule droite, un perroquet. » —
Jean Cocteau
« Moi je cherche plus de logique non plus. C'est surement pour cela que j'apprécie les Ataris, ils sont aussi logiques que moi ! » —
GT Turbo Pen^2 Le 24/12/2016 à 04:51 De toutes façons c'est pas très différent de la prostitution, rien de bien novateur même si ça prend une forme légèrement différente.
Surtout que dans les grandes villes en particulier la prostitution prend toutes les formes intermédiaires qu'on peut imaginer, comme par exemple les filles qui se baladent dans des accoutrements aguicheurs dans le but de se faire draguer et payer une nuit sympa, souper, boîte et les derniers accessoires au combini avant de rentrer (et surtout, entre nous, pour égayer leur vie) par un beau mec qui passerait par là, avec éventuellement du sexe à la fin si elle veut bien, en l'échange de temps (dont elles ont bien assez).
Sinon Zeph oui c'est bien réel et n'importe qui qui y a vécu l'aura vu, après comme tout, ça existe parce que c'est la plus grande ville au monde et qu'il s'y passe absolument tout ce que tu n'oses même pas imaginer, mais ça reste une frange de la population (en particulier les poupées au silicone, y a ça aussi en France), et relativement mal vu -- mais les japs sont moins sensibles au jugement, du moins le même type qui nous cloue au mur dans les sociétés chrétiennes.
Nan mais pour y vivre c'est dur hein. En même temps c'est aussi un peu la rançon du "luxe" en matière de services et de proximité. On a d'un côté une société assez attachée à la famille, avec des gens qui se retrouvent parfois à devoir vivre seuls pour le boulot et devoir se débrouiller. Et autant tu peux trouver et faire absolument tout ce que tu veux à Tokyo à pratiquement n'importe quelle heure, autant il est facile de se retrouver "floodé" d'un tas de relations et événements sans le moindre sens sur la durée, si tu ne gères pas bien tes priorités et émotions.
Tout se passe très vite. Les "amitiés" et amours se créent et se défont pour l'espace d'une, deux, voire quatre rencontres (ce qui peut signifier quelques mois), les vrais amis sont rares et souvent construites durant les années de lycée ou d'université. Beaucoup de gens ne semblent pas ressentir le besoin -- voire, je me demande, l'utilité -- de l'amitié, ils courent après les émotions fortes, un peu comme un fast food nous nourrit après une fringale. Le résultat on n'est jamais vraiment seul mais un peu quand même une fois fini.
Bon après je parle de ceux qui vivent la city life à un niveau pathologique, pour quelqu'un de normal (genre qui aurait vécu dans un village en France) et qui ne se laisse pas brûler les ailes, Tokyo est une ville chaleureuse et dynamique.
Bah j'aurais tendance a dire que les animes reflètent la société qui les fait, donc oui ?
Proud to be CAKE©®™
GCC4TI importe qui a problème en Autriche, pour l'UE plus et une encore de correspours nucléaire, ce n'est pas ytre d'instérier. L'état très même contraire, toujours reconstruire un pouvoir une choyer d'aucrée de compris le plus mite de genre, ce n'est pas moins)
Stalin est l'élection de la langie.
Dans notre société occidental (surtout d'Hollywood), les films mettent beaucoup en avant l'idée de l'amour absolu, celui que "c'est le destin c'est évident même la bande sonore le dit", et que même dans de gros blockbusters composés en majorité de combats et d'explosion, on peut y trouver une indispensable scène de romance entre deux tueries.
Pour autant notre monde ne marche pas ainsi vis à vis de l'amour, les gens ont plus souvent tendance à sortir avec quelqu'un qui leur plaît sans que cela ne déclenche des feux d'artifices en arrière plan, et le couple se construit plus sur la durée que le coup de foudre.
Je ne serais donc pas surpris que l'amitié dans les shonens suive cette logique : un idéal élevé en règle absolu qui n'a que peu cours pour le public qui les lit.
Si d'ailleurs c'était une norme dans ce pays, pourquoi les shonens en parleraient autant ? on n'en ferait pas trois chapitres parce que ce serait une situation normale. Pourtant pour une grande partie de ces mangas, l'amitié est un élément du scénario qui démarre de zéro, comme on le ferait avec une histoire d'amour : c'est en partant de rien, et en s'affirmant au travers des épreuves, que l'amitié se solidifie.
Cet aspect est par ailleurs plutôt absent dans les mangas plus adultes, qui ne se développent souvent que par des relations d'intérêt ou professionnelles.
« Nous avons propagé sur Extranet une histoire fabriquée de toutes pièces selon laquelle une certaine disposition d'étoiles, vue depuis la planète d'origine des butariens, formaient le visage d'une déesse galarienne.
Sans chercher à vérifier ces informations, certains ont décrété que c'était la preuve de l'existence de la déesse. Ceux qui notaient le manque de preuves se faisaient attaquer. »
— Legion, geth trolleur à portée galactique