Pour ceux qui ont suivi l'affaire :
http://www.eric-leguay.fr/article-gamekult-droit-de-reponse-89265503.html
kuk (./2) :En effet, sa réponse donne l'impression qu'il dit "bon OK vous avez raison, mais arrêtez de le dire, ça fait mauvais effet".
droit de non réponse plutôt
"Il y a clairement un schisme entre ceux qui veulent faire du jeu traditionnel, et ceux dont la maturité amène à s'intéresser aux médias sociaux, pour faire des jeux pour leurs enfants, leurs pères..."Fort belle manière de dire "Il y a ceux qui ont encore leurs illusions, et ceux qui ont compris qu'ils n'ont pas d'autre choix que de faire des jeux casual minables pour pouvoir manger".
Comme dans d'autres secteurs, la crise qui a frappé le jeu vidéo français à partir de 2008 n'a pas épargné les jeunes. "Quand j'ai décidé de faire une école de jeu vidéo, les entreprises embauchaient à tour de bras, c'était la fête de la next-gen, de la Wii et de la DS"
, se remémore Baptiste Hébert, game designer sorti de ISART Digital en 2010. "A cette époque-là, il n'y avait pas de problème à se tourner vers le jeu vidéo en France". Depuis, de nombreux "gros" employeurs potentiels ont fait faillite - WideScreen Games, Darkworks, Punchers Impact, Monte Cristo Multimédia, White Birds Productions, et tant d'autres - et la "bulle" DS a éclaté.
fei (./3) :
Ca ne m'avait pas choqué plus que ça...
Chez les graphistes je vois des bac+5 diplômés qui ne trouvent pas de boulot.
Ou des bac+3 diplômés qui bossent dans tout autre chose (Kiabi, mairie...).
Puis c'est bien d'envoyer des CVs par centaine mais faut relancer derrière et se déplacer bien souvent.
Dans ce type de métier je pense qu'il faut se bouger le cul et bosser à fond son book.
C'est pas en lisant l'article de Gamekult que j'ai eu cette impression...
Yoshi Noir (./11) :
C'est là qu'on voit le pouvoir dévastateur de Mindscape et de sa philosophie fast-food…