Bonjour,
Je ne suis pas un grand rouleur, en voiture, mais il ya quelque chose dont j'aurais du mal à me passer aujourd'hui, c'est du frein moteur procuré par le moteur (Turbo) diesel : je ne me sers quasiment pas des freins, en ville. Sur route, pareil : à moins d'un freinage "d'urgence", je sollicite peu mes freins. Je n'ai jamais eu l'occasion de descendre un col de montagne (en diésel), mais ça doit être bien appréciable. Je ne rencontrais pas un tel "avantage" avec les modèles essence que j'ai toujours possédés jusqu'à présent.
Je dirais que chaque motorisation a ses avantages et inconvénients. Que le plaisir et les sensations sont des choses qui ne se décrivent pas toujours et "ne se discutent pas".
Une année, j'ai eu la chance (je le considère tout à fait comme tel) de conduire sur quelques petits kilomètres une BMW 325 TDS® (143 CV, je crois, à l'époque) : j'ai été epoustouflé par le silence, et le "coup d'pied au fesses" que j'ai reçu

cela fera sans doute sourire certains qui ont l'habitude d'avoir entre leur mains des "bolides" (ce qui n'est pas mon cas) et j'avais été bien content d'avoir cette opportunité

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Quand j'ai vu quelques années plus tard, qu'on grimpait ensuite à 183 CV avec la 330 D®, j'étais assez sidéré des sensations que ça doit procurer (J'avais été aussi assez sidéré par les pics de consommation instantanée, indiqués par l'ordinateur de bord !).